Voilà des semaines que cette note traîne dans mes affaires. Le restaurant de la rue Saint-Jean que j’affectionne, le Moine Échanson, a agrandi en février dernier. Il y a maintenant une partie où on peut boire un verre à l’occasion d’un 5 à 7 ou d’un 9 à 23, accompagné ou pas de petites (mais délicieuses) choses à grignoter.
On entre par la même porte au bistro-boutique qu’au resto (si vous voulez éviter l’humiliation de vous frapper le nez à la porte qui n’ouvre pas devant tout le monde qui vous regarde, c’est vos affaires, vous êtes prévenus).
Vous pouvez aussi acheter pour apporter une bonne bouteille, accompagnée d’un oeuf cuit comme de raison, et hop, vous aurez une fête réussie là où on voudra bien vous accueillir. Et, contrairement à la légende urbaine que j’ai propagée, le Muscat est vendu en contenant de 3 litres (et non de 6, comme elle exagère quand même parfois cette Sophie).
Aaaaaaaah, le muscat du Moine Échanson…
Vendredi il n’y en avait pas. J’ai bu un excellent Moscatel à la place.
Ce vendredi soir fut inoubliable, dernier concert du chef de l’OSQ et finir la soirée en famille devant un délicieux Moscatel. Merci à toi Sophie de nous faire vivre de tels moments magiques.