Le salon de Québec: grandeurs et décadences

Ça y est, le Salon international du livre de Québec est débuté depuis 2 jours. Au total, déjà 24 heures à serrer des mains, vendre des livres, conseiller et répondre à des questions intéressantes mais aussi parfois saugrenues « Madame, à quel endroit je peux trouver des cartes de hockey, à quel endroit je peux trouver des tablettes de chocolat », rencontrer les auteurs, les clients, les éditeurs. Nous nous efforçons que tout le monde reparte satisfait!
Le salon est aussi un prétexte aux sorties et cocktails. J’ai donc dû me sacrifier et assister au cocktail d’ouverture de Marquis imprimeur qui avait lieu mercredi soir au Hilton. Merci d’ailleurs à Jean-Pierre, notre représentant préféré, pour son accueil chaleureux. Hier soir, sortie à La Loge avec notre auteur Patrice Corriveau. Comme on a rit! Merci pour la bière que tu nous avais promis depuis des mois! :)
Ah et c’est fou ce qu’on peut apprendre de potins en si peu de temps…
Je suis déjà crevée, mais heureuse. Allez, on ne lâche pas jusqu’à dimanche.

4 thoughts on “Le salon de Québec: grandeurs et décadences



  1. Benoît : tu as raison, Montréal sera difficile à battre… surtout que nous n’avions pas pu manger parce que les cuisines du resto étaient fermées! :)



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