Le merveilleux et l’héroïsme en partage

Pendant que la vie me sort des répliques comme: «Moi je suis mon cours» et que j’ai juste envie de lui crier je t’emmerde, j’ai pu jeter un oeil sur quelques productions à paraître en 2010 sur nos écrans, production qui ont eu l’heur de retenir mon intérêt.
Je parle tout d’abord d’Alice in Wonderland de Tim Burton, avec entre autres Anne Hathaway et Johnny Depp (évidemment). Mon frère et moi, on apprécie tout particulièrement Burton. Je crois bien qu’on a vu tous ses films ensemble, dont l’excellent Sleepy Hollow. On adore particulièrement son travail de l’image, ses univers étranges. Le film sera présenté en 3D, c’est cette version que nous allons privilégier. C’est fou, je me rends compte que je ne me souviens pas de beaucoup de choses de l’histoire d’Alice de Lewis Caroll: du lapin et de sa montre, de la chute de la fillette dans un monde parallèle, d’une reine qui gueule tout le temps, de l’heure du thé, c’est plutôt vague dans mes souvenirs. Regardez la bande-annonce, ça promet vraiment.
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Puis, je parle du film Gainsbourg (Vie héroïque) de Joann Sfarr. Sfarr est aussi un bédéiste ultra réputé, dont je me promets de découvrir le travail dans les prochaines semaines. Bien sûr, ce qui retient tout de suite l’attention quand on regarde la bande-annonce c’est la ressemblance incroyable d’Éric Elmosnino avec le chanteur décédé. J’avoue que la métamorphose est fascinante. Ah Gainsbourg, celui qui a popularisé les Zizi de Repetto, son côté provocateur, ses scandales, sa décadence, son oeuvre mythique, ses relations amoureuses.

Tiens, je vais écouter La chanson de Prévert, je pense que c’est de saison.

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