C’est avec beaucoup d’entrain (et un peu de fatigue) que je suis revenue tard hier soir du Salon du livre de Montréal. Quel bon salon ce fut ! Tellement en fait que c’est à regret que j’ai quitté Place Bonaventure. Un vrai plaisir de rencontrer nos auteurs, je pense particulièrement à Caroline-Isabelle Caron, Éric Simard, Patrice Corriveau, Marcel J. Rheault, Julie Hubert, Claude Corbo, Marcel Myre… Comme j’aime travailler avec des personnes comme celles-là.
Voici mes impressions livrées en vrac : ce fut un privilège de me retrouver aux côtés, au même moment, de Marcel Trudel, Jacques Lacoursière et Denis Vaugeois, Marjolaine Saint-Pierre a, comme toujours, bien pris soin de nous, tout comme Stéphane et Michel (nos précieux collaborateurs de Dimédia) d’ailleurs. Bien sûr, il y a eu des moments cocasses (à mettre essentiellement sur le dos de la fatigue accumulée bien entendu) partagés avec Yves Beauregard (Cap-aux-Diamants) et Josée, que je garderai secrets pour le maintien de mon excellente réputation. La soirée de samedi passée en compagnie de Charles-Philippe David, Élisabeth Vallet et tous les chercheurs présents de la Chaire Raoul-Dandurand a été tout simplement mémorable. Josée et moi avons bien pensé rejoindre leur équipe tellement ils ont un plaisir contagieux à travailler ensemble. http://www.dandurand.uqam.ca/fr/index.htm
Plusieurs activités ont été très réussies, entre autres la table ronde sur le 11 septembre et le terrorisme, celle sur les patriotes et la séance de signature de Jean-Claude Massé pour son livre sur Malcolm Fraser, grâce à la présence charmante et remarquée des soldats du Olde 78th Fraser Highlanders du Musée Stewart (nous avons manqué de livres!).
Voir que nos livres se vendent, qu’ils sont appréciés, voilà pourquoi je travaille et le Salon de Montréal m’a permis de faire le plein d’énergie. Je reviens tellement ressourcée en fait que je me sens enflammée, prête à mettre au monde de nouveaux livres et croyez-moi des projets très intéressants, certains soumis pendant ce salon, s’en viennent.
Seuls points négatifs : la chaleur qui régnait en maître à la Place Bonaventure et les trop longues heures d’ouverture (9h à 22h tous les jours) qui faisaient que nous étions épuisées à la fin de nos journées.
Merci à tous nos auteurs de s’être déplacés et d’avoir fait un succès de ce salon 2006 !! Nous espérons que vous êtes tous contents et satisfaits. Josée, tu as de l’énergie pour 10, tu es responsable en grande partie du bon déroulement de l’ensemble !! Merci à toi plus particulièrement.
J’aurais bien aimé vous accompagner Josée et toi. Le Salon du livre de Montréal doit être très dynamique. Une belle occasion de rencontrer des gens du milieu et de créer des liens avec des professionnels qui font le même métier que nous. Sans compter l’apport culturel de l’évènement. Bref, je crois que je vais placer un papillon autocollant ROSE dans mon agenda pour celui de l’an prochain.
Les Salons du livre sont à la fois épuisants et énergisants. Pas besoin d’antidépresseur durant cette période. (N’allez pas penser que j’en ai besoin en d’autres moments…).
Chez Septentrion on travaille en équipe et cela paraît. Merci Sophie de m’avoir endurée 24 heures sur 24. (Tu vois, tu peux passer au travers sans Guru). Merci aux auteurs d’avoir participé si activement à vos séances de signatures (d’humilité si vous aimez mieux!). Merci chers patrons de nous remercier de notre bon travail en nous offrant un voyage d’enrichissement à Bruxelles et/ou à Paris, au printemps prochain(Ha!Ha!Ha!).
Félicitation,
Je constate que tu aimes beaucoup ce que tu fais et c’est important crois-moi.
Tu es très chanceuse de pouvoir vivre de tels moments.
Continue d’avoir cette flamme.
Mom
Petite anecdote du Salon: Je me promenais avec Sophie, lorsque tout d’un coup elle aperçu Alfonso Galiano… Au même moment, je vis Normand Lester qui pour mieux espionner sa victime préférée se plongea dans Le dico des filles, superbe livre rose, couleur qui lui allait très bien. Un vrai inspecteur Clouseau.
MHV
Moi aussi j’aime travailler avec toi!