La morale de cette histoire

Vendredi dernier, mon ami David s’est fait frapper par une auto en traversant à pied la rue Sherbrooke à Montréal. Heureusement, que des contusions après plusieurs heures passées à l’hôpital. Dans tout son délire post-accident, morphine aidant, David me raconte que la première chose que lui a dite la femme qui l’a frappé c’est : «Sorry, I don’t speak french, can you speak english ?» Oui, oui, c’est aussi ça Montréal. Et il poursuit en me disant qu’il a été frappé par un miroir… en riant ??
Que devrait être la morale de cet accident selon vous ? Regarder des deux côtés de la rue avant de traverser ? Oh que non. Moi je dirais plutôt ne pas convoquer de réunion un vendredi après-midi quand on travaille pour un ministère qui n’a rien à voir avec celui de la Santé, pour se faire parler de la grippe aviaire (avant, c’était le virus du Nil…) et de se faire vendre un microscope pour vérifier si on se lave bien les mains, etc. Après avoir entendu tant d’idioties, il y a de quoi traverser une rue sans faire attention…

3 thoughts on “La morale de cette histoire

  1. C’est un résumé divertissant pour un événement plutôt traumatisant… C’était une lampe infrarouge et non pas un microscope…en vente chez Canadian Tire selon les dire de la « freak » des microbes.




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