Des bas de la politique et des hauts de la littérature

Denis Coderre, qui commentait la volte-face de Duceppe à la course à la direction du PQ, vient de comparer si j’ai bien compris, le Parlement fédéral à la ligue nationale et le Parlement de Québec à un club école. Je suis bouche bée. Doit-on lui rappeler que l’Assemblée nationale est l’une des plus vieilles démocraties francophones? Je trouve la comparaison vraiment maladroite et méprisante, mais cela doit-il nous étonner de la part de M. Coderre.
Sur une autre note, j’ai vraiment été étonnée hier soir en prenant connaissance des résultats du Prix des libraires 2007, surtout, en fait, de la mention exceptionnelle. J’avais parié sur Myriam Beaudoin et son magnifique Hadassa. En fait, j’étais presque certaine que j’allais gagner, sauf que mes deux libraires préférés ont bien caché leur jeu (quoi que… à bien y penser maintenant… quand je repasse certaines conversations, j’avoue humblement que je n’ai pas saisi des pistes vous avez laissées!) C’est plutôt le travail de Michel Rabagliati pour sa série des Paul qui a été souligné. Je suis tout à fait d’accord avec cette décision par contre. De la bande dessinée touchante, originale, magnifiquement illustrée, cela valait vraiment le coup de récompenser M. Rabagliati!
Je profite par ailleurs de ma tribune pour souhaiter publiquement un très bel anniversaire à mon ami David qui est parti fêter ses 30 ans au Brésil!

One thought on “Des bas de la politique et des hauts de la littérature

  1. Ma chère Sophie, tu as été bien naïve de croire que ce serait Hadassa qui se mériterait la mention spéciale :-) Ce fut ma grande déception qu’elle ne se classe pas en final. C’est ça, la démocratie!


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