Où conduit l’escalier?

« Monter en haut et descendre en bas », voilà un pléonasme qui aurait pu être mentionné lorsque la décision fut prise de « sortir dehors » en ce dimanche ensoleillé de septembre. Mais il n’en fut rien, concentrées que nous étions sur la tâche à accomplir.
Au Septentrion, nous avons un ouvrage qui, comme son nom l’indique, traite d’un élément essentiel de notre environnement urbain: http://www.septentrion.qc.ca/catalogue/livre.asp?id=2381
Je les emprunte quotidiennement tous ces escaliers, celui de la côte Badelard, celui qu’on appelle affectueusement Casse-Cou, sans oublier l’escalier Lépine et l’escalier du faubourg. Ah, Québec, ses côtes et ses escaliers! En fin de semaine, question de prendre l’air et de faire un brin d’exercice, j’ai attaqué celui du Cap-Blanc. Avec près de 400 marches, il est le plus long de la ville. Si je me souviens bien, il y a de belles images de lui dans le film Les Plouffe de Gilles Carle. Pour me vanter un peu, je dirai que je l’ai descendu et remonté à 3 reprises ce week-end. Vous avez bien lu, 3 fois (5 fois pour la très athlétique LB). C’était la première fois que je me rendais en bas, dans le quartier Champlain, par cette voie. Malgré un essouflement plus qu’apparent, j’ai trouvé la vue splendide. C’est tellement beau ce coin de Québec. Alors voilà ma nouvelle (idée de fou) bonne résolution, monter les marches quelques fois par semaine.
(Mise à jour lundi 17 septembre, 22h14): bonne résolution? J’ai mal aux muscles oui.

6 thoughts on “Où conduit l’escalier?

  1. Bravo Sophie ! Bravo LB ! Quelles athlètes vous faites ! So, il faut que tu sois bien claire: tu as monté et descendu les escaliers trois fois de suite. Wow !
    Et tu as oublié de souligner ma précieuse participation: gardienne des sacs et couvertures.


  2. Il est même possible que j’aie exagéré un tout petit peu (moi, jamais!), en montant deux par deux. Mes mollets me l’ont rappelé deux jours plus tard. Mais c’est la preuve que ça marche. À quand l’Acropole des Hautes-Gorges?





  3. J’y suis retournée dimanche et j’étais très fatiguée après, tellement que je me suis demandée si j’allais pouvoir me rendre chez moi. J’aurais peut-être dû imiter la marmotte que j’ai vu lors de cet entraînement intensif… qui elle a eu la bonne idée de se laisser glisser jusqu’en bas de la montagne. Mais bon, je suis plutôt fière de moi après coup.


Répondre à A.G. Annuler la réponse.

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <strike> <strong>