Rue Richelieu

Par un beau soir cette semaine, je me suis promenée dans le quartier pour prendre quelques photos. J’ai posté celle-ci sur Facebook, prise sur la rue Richelieu:
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Le lendemain matin, j’avais un message de Clément avec une de ses photos en pièce jointe, prise sur la rue Saint-Paul:
http://remolino.qc.ca/2010/09/16/photo-rue-saint-paul/.
Amusant n’est-ce pas? En tout cas, on peut dire que nous avons un regard semblable sur notre environnement. Un nouveau jeu est lancé.


Les photos de Lili Lemieux

Laissez-moi vous parler d’un univers merveilleux, celui de la photographe Lili Lemieux. Alors que je n’avais pas encore 30 ans, peut-être était-ce en 2007 (2007 quelle année quand même) je naviguais de blogue en blogue et un beau jour je suis tombée sur le sien (je pense qu’il était en lien sur celui de Sophie Bienvenu). Oh, tout ce que j’y ai vu m’a tout de suite plu. Elle écrivait aussi de petites pensées que j’aurais aimé écrire moi-même, citait les grands et écoutait Léo Ferré.
Quelques années plus tard – et un cheveu blanc en plus sur ma petite tête – Éric Simard, directeur de Hamac, a proposé d’user de ses services pour les nouvelles maquettes de couverture de la collection. Quelle idée géniale. Ses photos sont lumineuses, éthérées, mélancoliques. J’adore le regard qu’elle pose sur la ville, le quotidien, la vie.
J’en ai profité pour acheter cette photo que j’avais repérée à l’époque, dans laquelle je me reconnaissais tellement.
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(Désolée pour la qualité de ma photo, c’est pas facile à prendre en photo, une photo. Qui plus est avec une vitre dessus).
Allez voir son site et son magasin: http://lililemieux.info/ et
Etsy. Et achetez ses photos bon sang de bon dieu au lieu d’avoir toutes les mêmes reproductions trouvées au Ikea.


Comment survivre à l’automne

J’ai une amie extraordinaire (une autre). Bon bon, ça suffit les amis extraordinaires. Pour changer, je dirai que j’ai une amie incroyable qui trouve, en toutes circonstances, les bons mots, de petits conseils, des trucs efficaces, des liens, des adresses.
La semaine dernière, alors que le soleil chauffait la ville et qu’il faisait 30 degrés à l’ombre, que je savourais mon smooties et que tout allait bien, nous nous sommes dits que nous avions quand même hâte à l’automne parce que plusieurs aspects de cette saison nous plaisent. À commencer par la mélancolie. Les rayons chauds du soleil, le vent frais, l’odeur des feuilles mortes, on sent qu’on respire. C’est un temps de deuil et de commencement pour les fillettes que nous sommes.
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Mais l’automne, ce n’est pas drôle tous les jours, on peut se sentir mal dans sa peau, fatigué ou être malade et autres lieux communs associés à cette saison. Alors pour nous aider à passer au travers, Judith nous dévoile ses meilleurs trucs testés et approuvés (entre autres par mon humble personne).

Pour contrer la grippe et le mal de gorge

Un breuvage chaud s’impose et pas n’importe lequel. Voici la recette qu’elle m’a concocté un jour maussade:
* 2 centimètres de gingembre coupés en petits morceaux
* 1 demi-citron en quartiers
* 1 cuillère à thé de miel
Disposez les ingrédients dans une théière et versez de l’eau chaude par-dessus (environ une tasse et demi pour une théière).
P.S. Plus vous laissez infuser longtemps, plus ça pique et ça fait du bien. Si vous êtes tristes, c’est tout à fait réconfortant!
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Pour échapper à l’insomnie

Vous avez des soucis au bureau, dans votre vie privée et le sommeil vous a quitté? Zut! Mais figurez-vous que ça m’arrive à moi aussi, parfois. Judith m’a proposé un exercice de respiration appris au yoga. Il faut faire 8 respirations sur le ventre, 16 du côté droit et 32 du côté gauche. Elle m’a montré comment elle compte ses respirations avec les phalanges mais j’avoue n’avoir rien compris à ce bout là. Ce que j’ai retenu par contre c’est qu’il faut que l’expiration dure 2 fois plus longtemps que l’inspiration (par exemple, 3 secondes\inspiration, 6\expiration) et qu’il n’y a pas de pauses entre les inspirations et les expirations.
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Pour chasser les idées noires

Quand elle ne va pas bien, elle dit qu’elle est indulgente envers elle-même, ses petits travers et la vie. Et depuis un certain temps, elle essaie de se rappeler chaque soir trois beaux moments dans la journée qui lui sont arrivés (ex: la bonne glace qu’elle a mangé, une personne sympathique vue à l’épicerie, etc.). Rien de bien spécial, seulement de petits moments simples et agréables.
Elle a pris ce truc sur le site de PasseportSanté.net. Voici la capsule en question:
http://medias.passeportsante.net/balado/capsule_sante_andre.mp3
Moi depuis que je sais ça, j’essaie d’avoir mes 3 pensées positives à propos de ma journée avant d’aller dormir.

Pour retrouver le moral

Je lui ai demandé si elle avait un restaurant préféré pour un jour de pluie. Elle m’a tout de suite dit qu’elle irait chercher un petit gâteau de Loukoum cupcake, la nouvelle boutique au 34, Saint-Joseph Ouest (j’en reparlerai incessamment plus en détails). Le sucre a un effet euphorisant en petite quantité (j’ai oublié de vous dire que Judith est biologiste) et que les gâteaux de Loukoum sont parfaits car ils ont un bon dosage de sucre. Et en plus, on peut partager et mettre un sourire sur le visage des personnes qu’on aime. Son restaurant à Québec demeure le Samouraï, sur la rue Saint-Jean, et elle y va souvent pour savourer leurs sushis. «C’est bizarre, dixit Sophie Imbeault, moi quand je ne vais pas bien, j’ai envie de manger des sushis». «Ça s’explique, elle réplique, le poisson cru est plein d’Oméga 3, reconnu pour ses propriétés positives dans le traitement de la dépression».
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Pour se recentrer
Quoi de mieux qu’une balade en forêt. Et pour ça, nous avons le Cap Tourmente, avec ses couleurs, sa falaise. On dépense de l’énergie et on admire le paysage qui invite à la sérénité. N.B. C’est aussi le lieu préféré de Joséphine, le chien de Judith et de François. J’ai eu la chance d’y aller avec eux en octobre 2009 et ça m’a fait un immense bien.
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Pour prendre soin de soi
Parmi ses trucs favoris, on retrouve la massothérapie. Elle propose deux adresses: La Quintessens et le Centre vision massage, qui n’emploie que des non-voyants.
Elle insiste aussi sur le plein de légumes racines récoltés au jardin. Le jardin permet d’ailleurs de faire nombre de repas entre amis avec bouteilles de vin, dont le prix dépend du budget consacré aux vacances quelques semaines plus tôt (ah la la, ça fait mal).
Les activités bricolage sont une manière intéressante de relaxer et de réfléchir. Un jour pas si lointain, elle m’a offert un fuseau de lavande tout mignon. Voici de quoi ça a l’air et comment elle a fait pour parvenir au résultat spec-ta-culaire : http://www.chez-mamigoz.com/article-10944800.html.
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Une chanson à fredonner

La dernière chanson de Six feet under: Breathe me de Sia.
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Elle a des conseils pour tout je vous dis, même quand j’ai peur de m’écraser en avion, elle avait des conseils de survie! J’ai partagé avec vous les conseils précieux de ma très chère Ju. Vous, avez-vous des trucs à partager? Ce que je préfère pour ma part, c’est passer des heures à regarder les fleurs automnales.


Dix-sept siècles

La deuxième île que je tenais à voir pendant mes vacances est l’île Saint-Honorat. J’avais préparé ma visite des semaines à l’avance, en naviguant sur Internet. Qu’est-ce qu’il y a à voir? Tout. Les gens vont surtout pour s’y baigner dans les criques (à l’abri du regard des moines), ce que nous avons fait. C’est plus que bien, c’est sublissime. J’aimerais pouvoir y aller tous les jours. Vous Cannois, je vous envie, vous n’avez pas idée.
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On y trouve le monastère de Lérins habité depuis 1869 par des moines cisterciens de la congrégation de Sénanque. On aperçoit aussi l’ancien monastère fortifié, élevé en 1073 sur une pointe de la côte sud par l’abbé de Lérins, Adel’Dert, pour protéger les moines des pirates sarrasins. L’île a en effet été attaquée et pillée à de nombreuses reprises, notamment par les Espagnols.
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Le nom fut donné à l’île pour rappeler Honorat d’Arles (saint Honorat). Cherchant la solitude, entre 400 et 410, il choisit une des deux îles Lerinas. Là, il fonde un monastère qui figure parmi les plus réputés de la chrétienté. Depuis 17 siècles, à quelques décennies près, c’est donc un lieu de pèlerinage. Ça donne le vertige n’est-ce pas, 17 siècles!
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À mon sens, un des meilleurs restaurants de la Côte d’Azur s’y trouve. Dirigé par Christian Nevière, le restaurant La Tonnelle peut se vanter d’avoir un personnel irréprochable, charmant, qui n’en fait pas trop. On peut manger ou boire un mojito lérina les pieds dans le sable, sur des tables en bois, en admirant la mer. En tout cas, moi je me sentais vivre pleinement à l’ombre des jolis parasols avec ma mère et mon amie Carole. J’aurais aimé partagé ce moment avec tous ceux que j’aime, ça c’est sûr. Qu’est-ce que j’ai mangé? Pas la langouste à 175 euros pêchée dans la baie en tout cas. Du cabillaud, par contre, excellent, une entrée de melon aussi, qui s’imposait sous un soleil radieux.
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À l’île Saint-Honorat, on trouve de belles vignes qui sont exploitées par les moines pour en faire du vin ou des liqueurs. La distillerie est pilotée par le frère Giancardo, maître liquoriste. On me dit qu’il est le seul détenteur de la liste des plantes composant les liqueurs. Avant sa mort, il devra transmettre ses connaissances à un autre moine. Ils produisent la lérina jaune, une liqueur de mandarine, le lérincello, du marc, des vins blancs et rouges. Moi, j’ai retenu la lérina verte, qui contient environ 26 plantes aux arômes floraux intenses avec des notes de menthe, de verveine et d’anis. J’ai rapporté un petit flacon d’huile de lavande qui porte la marque «approuvé par les moines».
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On trouve plusieurs bâtiments, surtout d’anciennes chapelles, églises, et des fours à boulets construits sous Bonaparte. Fascinant pour l’historienne.
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Vingt-cinq moines y habitent aujourd’hui et leur quotidien est orienté en fonction du travail et de la prière. Allez voir la boutique virtuelle. Il y a la liqueur de verveine que je veux commander, je n’avais hélas plus de place dans ma valise…
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C’est splendide n’est-ce pas? Si c’est ça le paradis, moi je dis plus près de toi mon Dieu ahah!


Les îles de Lérins – Sainte-Marguerite

Dernière note sur mon voyage je pense (mais non qu’est-ce que vous croyez, j’ai encore quelques trucs à raconter). C’est juste que tous ces spectacles à voir cet automne à Québec, ah seulement faire la liste me prend toute mon énergie.
Dans mes derniers billets, je me suis arrêtée surtout à Nice (normal, nous y avions un appartement). Mais je me suis baladée pour 1 euro dans plein de villages parfaits. Je suis allée à Cannes par exemple, où je ne me sentais pas jet-set du tout avec la transpiration (encore elle) qui baignait mes vêtements. Juste en face, à une quinzaine de minutes de bateau, il y a quatre îles, la nature à l’état brut, grandiose – les îles de Lérins. Deux peuvent être visitées.
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La plus grande, celle de Sainte-Marguerite, est remarquable. Protégée par l’État, on la visite pour ses bois, sa végétation surtout, dont une allée d’eucalyptus. J’avais mon idée de ce qu’est un eucalyptus mais là j’ai complètement été déjouée par ces arbres immenses. Et cette terre, rouge.
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L’île est aussi protégée par un mur et un fort, qui servit de prison d’État, édifiés sur les ordres du cardinal de Richelieu. Sur cette île, il y a des traces d’occupation aussi loin que le IIIe siècle av. J.-C. Vous imaginez! J’ai pu visiter la cellule du Masque de fer (celui-là même dont parle Alexandre Dumas dans ses romans), ainsi que celles dans lesquelles furent enfermés 6 pasteurs protestants français après la révocation de l’édit de Nantes. Je suis entrée dans ces petites cellules en pierre, sombres, et je me suis dit qu’avec cette chaleur ça ne devait pas être trop le bonheur pendant l’été, et que ça devait être particulièrement humide l’hiver.
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Je suis allée me tremper les pieds dans l’eau évidemment, elle était bien chaude, c’était quand même rafraîchissant après avoir failli défaillir dans ce qui m’apparaissait le désert. On marchait bien à l’ombre, quand il y en avait… Mais dans tout désert, la nature triomphe, ça demeure impressionnant. :-)
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C’est magnifique. On s’y sent bien.
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Nice, ses douceurs

Il fait chaud, très chaud. Je n’arrête pas de m’éponger le visage et de m’asperger d’eau d’Avène. Rien n’y fait. Et j’ai soif, insatiablement soif. Nous nous baladons au rythme de l’escargot dans les rues de Nice quand soudain, est-ce un mirage? Une pâtisserie!
Au Seizième de Soupir, on peut repartir avec chocolats, macarons, pâtisseries, glaces, tout cela présenté de façon spectaculaire. Nous avons profité de notre état d’épuisement stade 4 pour nous arrêter au salon de thé, situé sur la rue Longchamp. Cette merveille d’établissement, peint en noir pour faire ressortir toutes les couleurs des desserts, est la propriété du pâtissier-chocolatier Patrick Mesiano, qui est aussi chef pâtissier à l’Hôtel Métropole de Monte-Carlo.
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Et j’ai beau être épuisée, ce n’est pas mon cerveau qui me joue des tours: les verres sont bel et bien croches. Ma pâtisserie aux framboises était divine, je l’ai mangé à un rythme d’escargot (c’est une habitude niçoise chez moi) pour en savourer chaque bouchée.
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Bon et comme nous voulions être certaines que c’était bien la meilleure pâtisserie de Nice, un deuxième arrêt s’imposait plus tard dans la semaine, cette fois pour déguster une glace au thé vert et abricots. Wow, crémeuse comme je les aime.
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*** Seizième de Soupir //
Bien remises en forme, la baignade dans la baie des Anges s’imposait.
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Le Musée Masséna

Alors c’est parti pour les quelques notes sur mes vacances. L’an dernier, j’ai découvert la Provence, cette année, c’était la Côte d’Azur. Je ne le cacherai pas, je suis une fainéante et oui, j’ai fait de la plage, j’ai marché sans but et avalé de l’eau salée.
Mais parlons histoire, car elle est omniprésente à Nice, tout comme l’un des personnages les plus célèbres de France: Napoléon. Il est présent partout, à Grasse et surtout à Nice.
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Le Musée Masséna (Nice), qui porte le nom d’André Masséna, l’un des officiers de Napoléon 1er, est l’un des plus beaux musées que j’ai eu la chance de visiter. Il est situé sur la Promenade des Anglais, dans ce qui fut la Villa Masséna, et renferme objets, toiles, documents, sculptures.
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La collection napoléonienne vaut à elle seule le déplacement.
J’ai bien cru que j’allais m’évanouir lorsque je suis tombée, au détour d’une pièce, sur ce portrait de Napoléon peint par Gros.
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Et que dire du manteau de sacre de Joséphine et de sa couronne, de son portrait par Gros…
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La collection sur l’histoire niçoise aux XIXe et XXe siècles est tout aussi intéressante.
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Et le plus beau dans tout cela, l’accès est gratuit!


Le cadeau

Je voulais vous parler du voyage magnifique que j’ai fait il y a quelques semaines de cela. Un voyage tout en galets, en ocre, en musées, en soleil, en mer. Le paradis point. Mais, mes plans ont changé en fin de semaine par la surprise qui m’attendait (car pour qui ne le sait, c’était mon anniversaire à moi).
Il y a des années que j’en rêve. Il y a longtemps que je l’attendais. Puisque la photographie est un de mes passe-temps préférés.
Alors aujourd’hui, c’est la présentation officielle.
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Mon nouveau Canon, cadeau précieux de mes parents chéris.
C’est ma vision du monde qui passera à travers lui. Wah, c’est pas rien ça? Notre avenir pas si lointain sera donc fait d’expérimentations , d’apprentissage, de contrées lointaines (j’espère) et de folles aventures.


Par une journée ensoleillée

Parlons franchement, c’est l’été, il fait bien chaud et on a soif, très soif (surtout que les lancements et 5 à 7 littéraires seront rarissimes pendant deux mois). La première idée qui vous viendra vraisemblablement en tête sera de partager une bonne sangria entre amis. Une évidence, que dis-je, une vérité de La Palice question alcool. Et vous aurez raison.
Pour ma part, j’adore la sangria blanche du Dos Caminos, à New York. Bon, je le reconnais, ça fait un peu cher et loin pour aller boire un pichet. Mais mon ami François a la solution toute trouvée: une recette dénichée sur Internet qu’il a adapté un peu.
La voici donc:
- 1 litre de vin blanc.
- 250 gr de sucre.
- 1 citron.
- 2 oranges.
- 1 lime.
- 2 pêches.
- 5 cl de liqueur Grand-Marnier.
- 1\2 bouteille de limonade pétillante.
- 1 cuillère à thé de poivre blanc moulu.
**** Nous, on n’a pas chauffé le vin blanc avec les épices, infusé 1 heure et laissé reposer pendant toute une journée. On avait soif vous dis-je, alors on a tout mélangé et savouré de suite. Recette pour 3 personnes et demi, la nôtre.
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Et comme je ne recule devant rien, je vous révèle sans me faire prier les ingrédients secrets: 3 clous de girofle et 3 bâtons de cannelle.
Bon été les amis!
Posologie maximale recommandée: 2 pichets (on a testé 3 pichets mais vous aurez alors besoin de Tylenol après et ça on n’aime pas).