(Un soldat du contingent canadien en Afghanistan a reçu L’Année des Anglais en cadeau…)
Bonsoir, M. Deschênes,
Je vous écrit un petit mot rapide du fin fond du fond de l’Afghanistan où votre livre a su trouver son chemin pour me parvenir, avec l’aide de Simon Gilbert, bien sûr! Merci beaucoup pour la dédicace, ce genre de détail me tient beaucoup à coeur étant un passionné de livres.
C’est le cas de le dire, votre livre n’a pas fait long feu, je l’ai dévoré en seulement quatre jours, avant d’aller au lit histoire de me changer les idées de mes traditionnels talibans qui font les cents coups contre les Forces de la Coalition. D’une façon très personnelle, vous contribuez donc au support des troupes! Le livre est magnifique, bien fait avec de belles photos… rien pour freiner mon avis de me trouver une jolie petite maison du Régime français!!
Je ne sais pas si Simon vous a parlé un peu de moi?! Nous nous sommes connus dans l’armée, à l’époque où je lui disais de cesser de vivre dans le passé avec ses Français et ses Anglais… J’ai fait mon arbre généalogique après qu’il m’ait montré le sien et me voilà aussi accro que lui! Je suis le descendant d’un soldat des Compagnies franches de la Marine, arrivé à Québec en 1750 à bord du navire marchand l’Infante Victoire. Il joignit la Compagnie de Saint-Ours, se maria à Québec en 1758 avec le grade de caporal et, ensuite, il obtint une concession dans le fief Dutord en 1778. Il me reste encore beaucoup de recherches à faire pour tenter de retrouver un maximum d’information sur lui. Selon la généalogie des Saint-Ours, son capitaine devait être Pierre-Roch de Saint-Ours; hélas, il est le seul dans la famille avec très peu de détails sur ses états de service. Il est seulement mentionné qu’il a participé à la majorité des batailles de son époque…
Enfin, votre livre est un très bel ouvrage.
Merci encore.
Martin Dauphinais
Une réflexion au sujet de « « L’Année des Anglais » chez les talibans »
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Les « lettres du Front », peu importe lequel, sont toujours remplies d’émotion. Une série de lettres d’un Brayon de Rivière-Verte, au Nouveau-Brunwick, enrôlé dans les forces armées des États-Unis au Vietnam en 1967, adressées à son petit frère toujours à la maison, me sont tombées récemment entre les mains. Elles m’ont fait frissonner. Dommage que de telles missives restent, le plus souvent, « propriété privée » au lieu d’être diffusées. Nous aurions tant de choses à apprendre.