L’ex-copine de l’ex-ministre beauceron a eu beau se couvrir littéralement jusqu’au cou, elle a monopolisé l’attention à la réception donnée pour souligner les 50 ans de l’éditeur qui l’a séduite, la bien-nommée maison des « Éditions de l’Homme ». D’après le reportage du Journal de Montréal, « tous les regards se sont tournés » quand elle s’est présentée « vêtue d’une robe saillante [sic] noire », comme le précise le texte et un bas de vignette.
Une tenue « seyante » n’aurait évidemment pas attiré les flashs et les caméras, mais une robe « saillante » éveille naturellement la curiosité. On présume que la journaliste n’a pas voulu évoquer les saillies littéraires (« traits d’esprit brillants ») ou vétérinaires (« de salire, couvrir une femelle »). Mais aurait-elle eu à l’esprit les structures architecturales qui s’avancent, débordent ou dépassent, comme un « balcon qui saille »?
Peut-être aussi que le chef de pupitre s’est bien amusé. Ça arrive.