Paru dans La Presse du 17 avril 2007 :
Denis Vaugeois, qui était à cette époque adjoint parlementaire du ministre délégué aux Affaires parlementaires (péquiste), abonde dans le même sens. « Le Québec s’est interposé parce que tant que la Constitution était à Londres, on était relativement protégé », se rappelle-t-il.
« Sur le coup, on l’a vécu sans se rendre compte de ce qui se passait, on ne réalisait pas l’ampleur du geste, soutient M. Vaugeois, aujourd’hui historien et président de la maison d’édition du Septentrion. J’ai ensuite passablement étudié la question pour me rendre compte combien c’est inimaginable les conséquences catastrophiques de 1982 sur le Québec. »
Lire l’article complet.