Archives pour la catégorie Hamac

Cet été, laissez-vous bercer par Hamac

En collaboration avec La maison du Hamac et une dizaine de librairies, Hamac, la division littéraire du Septentrion, vous offre la chance de gagner un vrai hamac et des titres de votre choix issus de notre catalogue.
Pour participer, il suffit d’acheter un titre de nos trois collections (Hamac, hamac-carnets et Hamac classique). Chaque livre acheté vous donne droit à un coupon de participation.
À gagner :
1er prix : un hamac et 10 titres au choix
2ième prix : 10 titres au choix
3ième prix : 5 titres au choix.
Voici la liste des librairies participantes
- Librairie Alire à Longueuil
- Biblairie GGC à Sherbrooke
- Librairie Boutique Vénus à Rimouski
- Librairie Carcajou à Rosemère
- Librairie Laliberté à Québec
- Librairie Marie-Laura à Jonquière
- Librairie Monet à Montréal
- Librairie Raffin sur la rue St-Hubert à Montréal
- Librairie du Soleil à Gatineau
- Librairie Vaugeois à Québec
Nous invitons donc à visiter ces librairies qui vous ferons découvrir nos excellents titres.
Ne vous reste plus qu’à vous souhaiter un bel été !

Hamac : un plaisir renouvelé grâce au talent de Lili Lemieux

Liliblogue.jpg L’automne 2010 marque un autre tournant important pour Hamac, notre collection entièrement consacrée à la fiction, qui a su se tailler une place de choix dans le paysage littéraire québécois.
Pour cette nouvelle rentrée automnale, nous avons fait appel au talent de Lili Lemieux, une artiste photographe de Québec, pour donner une image plus contemporaine à la collection. Toutes les photos de couverture porteront dorénavant sa signature. Le résultat est tout à fait concluant et convainquant.
Lili Lemieux aborde la photographie comme un dialogue entre la couleur, la lumière et la fragilité. Hors norme, intuitif et atmosphérique, son travail respire une douceur et une liberté empreintes d’une vision du monde déjà clairement affirmée. Si la photographie de concert lui permet de transformer l’énergie et l’inspiration musicales en œuvre visuelle, la photographie du quotidien, des jours et des gens qui passent, lui tient davantage lieu de langage. Nourrie des textes et des ambiances des livres de la collection Hamac, Lili Lemieux nous offre ici des photographies de couverture qui invitent à la découverte des histoires qu’elles illustrent.
Site de l’artiste : http://lililemieux.com
Site de la collection : www.hamac.qc.ca
Puretelog.jpg Dejablog.jpg Trajectoireblog.jpg

Daniel Rondeau : une recrue fort appréciée

Ce mois-ci, c’est au tour de Daniel Rondeau et de son recueil J’écris parce que je chante mal d’être en vedette sur le site de La Recrue du mois. Comme c’est la coutume, le 15 mai dernier, les rédacteurs et les rédactrices de ce site ont mis en ligne leur compte rendu. À la lecture des commentaires de lecture, force est de constater qu’on a fortement apprécié ce livre paru récemment dans notre collection hamac-carnets.
Voici un condensé de ces commentaires :
Librement, on parcourt ces quelques dizaines de nouvelles et autres instantanés du quotidien avec un plaisir vif et immédiat. Puis, à la lecture d’un texte en particulier, on se sent pris de cette impatience dont tout lecteur aspire, celle de vouloir dévorer le livre. Après un ou deux textes parcourus, on reconnaît l’indéniable qualité de l’écriture de Daniel Rondeau, son aisance rythmique, la douceur de sa courbe mélodique. – Claudio
« J’avais un jour compris que moins j’en disais, moins on pouvait en retenir contre moi. Parler signifiait trop souvent traduire sa pensée. » (p.14) Et cette économie de mots est efficace. Pas de compromis ni de circonvolutions, que des choses simples et claires, banales parfois mais qui nous semblent familières, comme si nous ou quelqu’un de notre connaissance avait aussi vécu une situation similaire. – Anick
Le plus beau dans ce recueil, c’est ce qu’annonce la quatrième de couverture : Daniel Rondeau traite de sujets lourds, sans que le texte lui-même le soit. C’est probablement pour cela que les histoires les plus puissantes, et celles qui nous laissent pantois, sont les plus courtes. – Marco
Il est difficile de raconter ces textes brefs sans en dévoiler la nature, la saveur. Il faut le lire ! Se laisser prendre par les mots qui coulent, les phrases fluides, bien construites. Si Daniel Rondeau aborde des sujets du quotidien, il leur donne un vernis bien savoureux qui les rend uniques. À la fin de la plupart des nouvelles, on lève la tête, on encaisse le coup, on réfléchit un peu et on se dit : c’est ça, c’est exactement ça ! C’est qu’il a le mot juste, Daniel Rondeau. Je pourrais en dire autant pour l’humour, la sensibilité. - Mylène
Pour son premier recueil, publié dans la sympathique collection Hamac-Carnets – qui a propulsé au sommet des palmarès de vente Caroline Allard alias Mère Indigne –, Daniel Rondeau nous propose de revisiter certaines pages choisies parues sur son blogue, retravaillées de fond en comble. On y retrouve donc aussi bien des instantanés de vie que des nouvelles plus élaborées, quelques poèmes ou des phrases « punch » qui assurent une cassure entre différentes sections du livre.
L’écriture est alerte, maîtrisée, n’use que très rarement d’artifices.
– Lucie
Ses lignes, ses textes, ses histoires prennent plusieurs sens. Ici, on ne voyage pas à sens unique. Ça donne l’occasion de jongler, échappant des idées, les relançant, les laissant tomber ou les ramassant pour rejouer. On peut glisser en surface ou plonger un peu plus profond, j’aime quand un auteur m’offre ce choix. – Venise
J’ai bien apprécié la diversité ainsi offerte, changer de lieu, de personnalités et de contexte aussi rapidement ne m’a pas du tout déplu. Mais ce qui est important selon moi dans un recueil où les textes sont aussi courts, ce sont les finales. Et celles de Daniel Rondeau passent le test avec brio, la plupart ont du punch, il y a toujours un fil à suivre, toujours une raison à l’histoire. Ce ne sont pas des histoires pour l’histoire. Et si par pur hasard ça l’est, alors c’est aussi pour la beauté des mots et des images. – Maxime
Avec J’écris parce que je chante mal, Daniel Rondeau porte un regard intéressant sur le quotidien, l’amour, le couple, la paternité. Bref sur la vie. Nous avons là affaire à un auteur possédant une finesse indéniable dans son écriture. Son penchant pour le minimalisme ne l’empêche pas de parvenir à entraîner le lecteur en quelques mots seulement dans un univers bien précis. Ajouté à une bonne dose d’humour mâtiné d’une maturité certaine, c’est le signe que Daniel Rondeau maîtrise son art. – Phil
Daniel Rondeau manie les mots avec justesse, chaque mot semble choisi.
Ces histoires sont émouvantes, drôles, poignantes, tristes, désespérées, heureuses et pourtant, il y a toujours cette lumière qu’apportent à la fois l’écriture de l’auteur et son regard juste et affûté sur la vie.
Je crois que ce recueil est véritablement un kaléidoscope de la vie. (Oui, je sais, je me sens métaphorique aujourd’hui !)
A découvrir d’urgence !!
– Caroline
Pour lire l’intégralité des textes, je vous invite à vous rendre directement sur le site de La Recrue du mois : http://www.larecrue.net/

Des fleurs pour Cohen

APPEL DE TEXTES
OBJET : Des fleurs pour Cohen
Dès l’automne 2010, une fois par an, la collection Hamac fera paraître un recueil de textes inédits de différents auteurs à qui nous demanderons de s’inspirer de l’univers d’un artiste d’ici ou d’ailleurs.
Le premier recueil sera consacré à Leonard Cohen. Pourquoi Cohen ? Tout simplement parce que nous l’aimons. Nous croyons que la carrière musicale de celui-ci éclipse trop souvent sa vaste contribution au paysage littéraire pancanadien. Leonard Cohen nous appartient collectivement, au même titre qu’Anne Hébert, que Gabrielle Roy, que Gilles Vigneault ou que Mordecai Richler. Nous croyons qu’il est grand temps que les auteurs d’ici s’approprient son œuvre et le célèbrent enfin comme poète, comme romancier, comme parolier.
Ce projet nous trottait en tête depuis un moment déjà, mais n’ayant que tout récemment obtenu l’approbation de l’équipe de Monsieur Cohen, ce n’est qu’aujourd’hui que nous nous lançons hardiment dans l’aventure.
Si l’œuvre de Leonard Cohen vous inspire, vous pouvez dès maintenant vous mettre à la tâche et nous soumettre vos textes par la suite. Ils peuvent prendre l’une des quatre formes suivantes : nouvelle, poésie, théâtre ou art graphique (dimensions 5″ x 7,5″). Il n’y a aucune contrainte de mots en autant que la longueur soit raisonnable.
La date limite a été fixée au 31 janvier 2010.
Nous n’acceptons que les textes imprimés envoyés par la poste en une seule copie à l’adresse suivante :
Les éditions du Septentrion
Att. : Éric Simard
1300, av. Maguire
Québec (Québec)
G1T 1Z3
Nous avons très hâte de découvrir vos propositions.
- 30 -
Source : Éric Simard | 418 688-3556 poste 228 | esimard@septentrion.qc.ca

Hamac : La nouvelle enseigne de la littérature

Entièrement consacrée à la fiction, la collection Hamac, fondée à l’automne 2006, propose à ses lecteurs, le temps d’un livre, de se balancer au rythme de ses pages. Bénéficiant de l’expérience des éditions du Septentrion auxquelles elle est rattachée, Hamac s’inscrit dans une volonté de publier des textes de qualité d’auteurs québécois.
Le printemps 2007 marque un tournant pour cette collection qui, jusque là, n’avait pas encore trouvée sa véritable identité. Pour permettre à Hamac de se définir et de se bercer à un autre rythme, on adjoint à Adeline Corrèze les services d’Éric Simard. Partageant la même vision de la littérature, tous les deux n’ont aucun mal à donner une nouvelle ligne directrice au volet littéraire du Septentrion. Ils priorisent des textes de grandes qualités, captivants et intenses. Tout pour favoriser le plaisir de la lecture.
Un an s’écoule avant la parution du premier titre de la phase deux de la collection Hamac. L’honneur revient à Sinclair Dumontais avec la parution de son troisième roman La Deuxième vie de Clara Onyx en avril 2008. Cette publication pour le moins déroutante contient tous les ingrédients recherchés par la nouvelle direction.
Le miracle se reproduit à la lecture des manuscrits de deux inconnus du milieu littéraire. Adeline et Éric craquent pour Au passage, un recueil de nouvelles d’Emmanuel Bouchard et Enthéos, un roman signé Julie Gravel-Richard. Deux titres qui pourraient causer la surprise cet automne.
Évidemment, on ne pouvait opérer un tel changement sans marquer le coup au niveau visuel. La maquette de la collection, qui était déjà très réussie, se raffine. Le format a été réduit pour en faire un objet plus attrayant. La couverture a été épurée et embellie. Le résultat obtenu est tout à fait à la hauteur des aspirations de la collection.
Ne reste plus à Hamac qu’à se tailler une place de choix dans le monde des lettres québécoises. Ça ne saurait tarder.
Pour obtenir plus d’informations, visitez le site www.hamac.qc.ca