C’est toujours un plaisir de consulter le Littré. Je viens d’y apprendre qu’un livrier est un mauvais faiseur de livres, parmi ceux qui font de cette activité leur métier, tandis qu’un mauvais poète serait un poétereau. Aussi, à ma grande surprise, j’ai su que mon conjoint est un pogonophore*. Heureusement pour lui, il lui sera beaucoup plus facile de se débarrasser de ce son qualificatif que les deux premiers du leur.
* Terme de zoologie : qui porte la barbe.
Une réflexion au sujet de « Trois mots du Littré »
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Pour le premier, une bonne diction s’impose, patate chaude s’abstenir pour ne pas confondre avec un chien à pattes hautes. Non mais c’est vrai ! Personne n’aime se faire traiter de livrier, mais de lévrier, guère plus !
Le deuxième « sonne comme » (quand on joue au mime) poète de trop, ce qu’il est finalement !
Le troisième évite à la conjointe d’aborer une joue rougie à longueur d’année, le poil porté long se fait moins porc-épic.