Dans le numéro d’hiver 2008 de Voix active, la revue trimestrielle de l’Association canadienne des réviseurs, vous apprendrez comment obtenir des contrats du gouvernement fédéral. L’article de Marion Soublière, intitulé «Travailler avec le gouvernement fédéral 101», est vraiment très détaillé. Si vous ne vous découragez pas et que vous suivez toute la procédure, vous pourriez décrocher des contrats parmi les mieux payés dans le domaine, semble-t-il.
Dans ce même numéro, André LaRose consacre presque une page entière à la présentation de mon livre, qu’il recommande à tous les réviseurs, de même qu’aux rédacteurs, traducteurs et employeurs; je l’en remercie.
Vous pouvez télécharger ce numéro gratuitement à l’adresse suivante: http://www.reviseurs.ca/. Normalement, cette revue est distribuée aux membres de l’Association (176 $/an pour le devenir) ou sur abonnement (abonnement à la revue seulement : 69,95/an).
7 réflexions au sujet de « D’autres contrats… »
Les commentaires sont fermés.
Oui, je suis membre de l’Association canadienne des réviseurs depuis presque un an, et j’aime toujours recevoir ce magazine. Mais en effet, la procédure semble décourageante… Peut-être que je m’y mettrai à l’automne, si je n’ai pas suffisamment d’autres contrats… Et vous, êtes-vous membre de l’Association ?
J’ai découvert l’Association en 2004. J’avais imprimé le formulaire d’inscription pour le remplir quand j’ai réalisé qu’au Québec, les activités se passaient essentiellement à Montréal, et le congrès annuel, dans l’une ou l’autre des provinces canadiennes (cette année: en Alberta). Quand on habite en région, comme moi (dans la Beauce), tout est donc peu accessible.
Puis, dernièrement, Anna Olivier, représentante de la ville de Québec pour l’Association, m’a jointe par l’intermédiaire de mon blogue. C’est ainsi que j’ai appris qu’il se passait des choses à Québec aussi de temps à autre. Cela devient donc plus intéressant. Il y a justement un 5 à 7 ce soir, au restaurant du Musée des Beaux-Arts. Malheureusement, le mercredi (du moins pour un temps), je n’ai pas d’auto et je ne peux donc m’y rendre.
Les personnes intéressées dans la région de Québec peuvent communiquer avec Mme Olivier à: info@athenaredaction.com.
Je demeure moi aussi en région, en Chaudière-Appalaches. Il ne me reste plus qu’à trouver le temps d’aller à un des 5 à 7 pour rencontrer les autres membres venant de Québec, dont l’un de mes anciens professeurs d’université. Peut-être nous y rencontrerons-nous un moment donné ! (Parenthèse hors sujet : étiez-vous à Québec le 30 avril dernier ? Si non, j’y ai vu une réviseure portant le même nom que vous…)
Oui, Sandra, j’y étais…
Je viens de lire l’échange de commentaires, et j’ai quasiment l’impression que la fiction dépasse la réalité. J’aime la fin « Oui, Sandra, j’y étais …
Trois points de suspension qui donnent un sens de roman policier.
On pourrait le poursuivre ainsi: Et vous, Venise, où étiez-vous le 30 avril dernier entre 9 h et 15 h 45 (les heures entre lesquelles Sandra et moi étions dans la même salle)?
Heureusement que vous ne tenez pas le rôle d’une détective privée car mon alibi serait bien ténue : je ne m’en souviens pas ! Et mon agenda a été d’aucune aide, ce n’est donc pas une journée marquante.
Si je laisse aller mon imagination pour satisfaire les romanciers plus que les détectives, je répondrais à colorer Miam-Miam Fléau, après avoir été chercher mon courrier aux boîtes à lettres au pied du Mont Orford qui se mire dans le Lac d’Argent.
Décidément, une chance que je ne suis pas mêlée à une histoire louche !