Pour donner suite à la dernière note concernant la rencontre du 21 octobre, voici les dernières informations:
Lieu: salle du conseil de la Faculté des lettres, pavillon De Konink: 3244
Heures: 9 h à 12 h
Coût: 10$ pour les étudiants de Jocelyne Bisaillon; 25$ pour les membres de l’ACR, de l’ATAMESL et de la SQRP; 35$ pour les autres.
Apportez: une feuille, un crayon et une gomme à effacer.
Des documents vous seront remis.
Le dîner (en sus), pour les personnes qui le désirent, aura lieu au restaurant Bonnet d’Âne, 859, rue Myrand, à quelques pas de l’Université. Informez Anna Olivier si vous désirez vous y joindre afin qu’elle puisse faire les réservations nécessaires. C’est également auprès d’elle que vous réservez votre place pour la demi-jounée, et ne tardez pas, car 22 personnes auraient déjà confirmé leur présence, et le nombre de places est limité: anna.olivier@athenaredaction.com.
J’ai bien hâte de vous y rencontrer!
3 réflexions au sujet de « Rencontre (Suite) »
Les commentaires sont fermés.
Je ne pourrais y être finalement. Dommage. Profitez-en tous ceux qui le peuvent !
Petite question que je soulève ici. Il y a une expression québécoise « Fou comme un balai » qui nous intrigue (un groupe d’ami) et nous nous demandions la source. On s’entend que ce n’est pas très évident de voir la folie dans un balai !
Nous avons bien sûr cherché dans l’Internet et rien trouvé de bien sérieux. Y a-t-il un endroit où on peut chercher avec un espoir de trouver ? À moins que vous le sachiez déjà, Ginette, ou votre mari qui dégote des choses assez spéciales parfois.
Merci de vous pencher sur ce cas … quand vous en avez le temps, il n’y a rien qui presse.
D’abord, pardonnez-moi, chère Venise, d’avoir pris tant de temps à publier votre commentaire. Comme ma note était publiée depuis un certain temps, je n’allais plus vérifier s’il y avait des commentaires.
Votre question est lancée, puisque je n’ai pas trouvé la réponse. «La puce à l’oreille», qui fait l’histoire des expressions imagées, ne liste pas celle à laquelle vous faites allusion. Elle est citée en plusiers autres endroits, mais sans précision quant à son origine.
Ainsi, vous ne pourrez venir mardi prochain? J’en perds mon balai… On se verra sans doute ailleurs. À Venise, peut-être…
Merci de tendre l’oreille à mon « Fou comme un balai ». J’entretiens peu d’espoir mais en même temps, ça me fruste de ne pas monter à la source. C’est un peu comme une racine fuyante en nos terres …