D’un cadre à un fonctionnaire subalterne

«Les étiquettes que l’on a commencé à poser sont mal faites. Dans beaucoup de cas, il y a beaucoup de fautes d’ortographes, surtout dans la partie anglaise», dit-il…
Cette note, du chef du Service forestier à un ingénieur forestier du ministère des Terres et Forêts, montre sa préoccupation de la qualité de la langue. Et c’est tout en son honneur. Malheureusement pour lui, il y a des mots plus difficiles à écrire que d’autres, n’est-ce pas?
L’ingénieur réprimandé a-t-il osé reprendre son chef sur sa propre orthographe? Je ne saurais vous le dire. Mais inutile d’appeler au ministère en question pour y offrir vos services de correction sur la base de ce fait, puisqu’il date du 31 juillet 1926 (réf.: E21, série Service de l’exploitation forestière, Permis et droits de coupe, 1853-1989).
Remarquez que rien ne vous empêche non plus de vous y essayer… Ne serait-ce que pour éviter que, dans 50 ans, quelqu’un ne trouve de telles cocasseries dans les archives de 2007.
Et si vous obtenez un contrat avec cette entrée en matière, faites-le moi savoir.

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