À mon tour de fêter, aujourd’hui, le premier anniversaire de mon blogue. Au cours de cette année, j’y ai publié 62 messages, pour lesquels j’ai obtenu une moyenne de deux commentaires pour chacun. Quelle conclusion tirer de ces statistiques?
Rien que je ne savais déjà, même si on a souvent l’impression que les chiffres seront forcément révélateurs de quelque vérité cachée. Je constate donc que j’ai publié un peu plus d’une note par semaine (ce qui correspond au temps dont je dispose pour cette activité). Mais je sais pertinemment aussi qu’il y a plus de deux lecteurs par message: tous ne laissent pas de traces, tandis que d’autres ne le font pas systématiquement chaque fois.
J’ai pris un grand plaisir à m’adonner à cette activité. La plus grande contrainte a toujours été le temps. Car il en faut plus qu’on ne le pense, même pour n’écrire qu’une note par semaine : faire quelques recherches (dans sa tête et sur Internet ou ailleurs) pour trouver des sujets, user d’un peu de créativité de façon à varier les thèmes d’une note à l’autre pour éviter la monotonie, rédiger les notes, parfois en avance pour, finalement, en supprimer parce qu’elles ne semblent plus avoir d’importance, vérifier régulièrement si des gens ont réagi, les lire, les publier et supprimer tous les «faux» commentaires (beaucoup plus nombreux que les «vrais»), répondre à certains d’entre eux et visiter aussi les blogues de ceux qui nous écrivent, afin de mieux les connaître.
N’empêche que c’est un privilège d’avoir une telle tribune, qui permet de s’exprimer et d’interagir avec d’autres. Un gros merci, donc, à Septentrion pour m’avoir permis de vivre cette expérience, de même qu’à vous tous qui me lisez.
Suis-je en train de vous faire mes adieux, là? Pas du tout. Je poursuis, pour quelque temps encore du moins, et, je l’espère, vous aussi. Alors, d’ici la prochaine note, je vous invite à boire un verre à ma santé et, de mon côté, je trinquerai à la vôtre. Tchin-tchin!
4 réflexions au sujet de « Un an! »
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OUF ! Vous m’avez fait peur ! Non mais, je lisais votre paragraphe « bilan » et puis, ça ressemblait vraiment à « j’ai bien aimé mais la vie m’appelle ailleurs » !
On s’attache, vous savez. Oui, vous le savez, ça vient plus vite qu’on ne le pense cet attachement. On sent que l’on fait partie d’une grande communauté, on se laisse visiter sans avoir à sortir sa belle vaisselle (et la laver après !). On visite les autres le pied dans sa pantoufle. On cache son gros rhume derrière l’écran.
Pour toute personne qui, pour une raison ou une autre, se sent le moindrement un peu isolée, soit parmi la foule ou dans un petit coin, par ses paroles ou son silence, il y a une sensation chaude et bienfaitrice de sentir que l’on fait partie d’un tout.
Ça, c’est le meilleur, le pire étant la menace constante de cette bête insidieuse, la culpabilité de ne pas en faire suffisamment. Voyez-vous, mon blogue m’attends présentement, la vie m’a avalé tout rond ces derniers jours, et cette coquine me guette. Ah la vilaine, qu’elle aille donc voir un mâle pour faire changement (je nous trouve facilement l’humeur coupable, nous, les femmes).
Alors Tchin-tchin pour cette année … mais surtout pour la prochaine !!!
Les anniversaires nous poussent toujours à la réflexion… Merci de partager votre passion avec nous!
Ceci n`est pas un commentaire mais des veux en retard pour votre premier anniversaire encore une fois tout mes veux. Salut Gabrielle
Bon anniversaire!
Il est vrai que je n’ai réagi qu’une ou deux fois à vos petits articles, mais je viens faire un tour régulièrement et j’aime beaucoup votre blogue. Je profite donc de cette occasion pour vous dire merci!