Cette nouvelle chronique, que nous avons décidé de partager avec vous, a d’abord été un outil interne que j’ai créé pour transmettre l’information à mes collègues et aux gens de chez Dimédia (notre distributeur) pour les tenir au courant de ce qui se passait avec nous sur la scène médiatique. Cette première est en fait la dixième du genre. Maintenant que je me suis fait la main et que j’ai trouvé mon rythme, il me fait plaisir de vous mettre dans le secret des dieux.
Évidemment, depuis une semaine c’est Caroline Allard qui remporte la palme médiatique avec l’obtention du Grand Prix littéraire Archambault pour ses Chroniques d’une mère indigne. En plus d’avoir défrayée la manchette un peu partout, on a pu l’entendre exceller hier à l’émission Christiane Charette, puis la voir à LCN et c’est sans compter les nombreuses entrevues qu’elle a accordées à plusieurs médias, dont le Journal de Montréal.
Jacques Lacoursière, avec son Histoire populaire du Québec tome 5, continue toujours de faire la tournée des médias. Une entrevue avec Tristan Malavoy-Racine devrait paraître dans le VOIR de cette semaine. Dimanche dernier, il a accordé une entrevue à Hélène Beaulieu de l’émission Côte-à-côte diffusée à Radio-Canada sur toute la côte est à partir de Rimouski. Le 1er juin prochain, de 14 à 16 heures, il est le conférencier invité à la librairie Monet à Montréal. Vendredi dernier, Paul Ouellet, de l’émission Première heure à la radio de Radio-Canada à Québec, a fait la critique du Tome 5.
Denis Vaugeois n’est pas en reste non plus. Un hommage lui a été rendu au Salon International du livre de Québec. Toujours dans le cadre du SILQ, il a participé à l’émission Christiane Charette de même qu’à Vous m’en lirez tant. Dans le dernier numéro de journal Le libraire, qui souligne le 400e de la ville de Québec, on peut y lire l’excellente entrevue menée par Yves Guillet. Le 20 avril, c’est au tour du Journal de Québec de souligner le travail de Monsieur Vaugeois et Didier Fessou, ce même jour, reprenait quelques citations tirées de L’Amour du livre pour souligner le Journée mondiale du livre. Nuit Blanche soulignait brièvement le mérite de La Mesure d’un continent. Est-ce que je vous ai aussi parlé du Prix Gérard-Parizeau qu’il a reçu au début du mois?
Pour revenir au Libraire portant sur le 400 ième, on y parle de tous ces titres: Tur Malka et Juifs et Canadiens français dans la société québécoise de Pierre Anctil (article de Laurent Laplante), Les escaliers publics en fer de la ville de Québec de Marie-Ève Bonenfant, Le Rêve du Petit-Champlain de Jacques de Blois (article de Serge Pallascio) et Un viol sans importance du très populaire Jean-Pierre Charland (article de Nathalie Ferraris).
Nos dernières parutions trouvent tranquillement leur place sur la scène médiatique. Le 20 avril dernier, Radio-Canada Rimouski (Côte-à-Côte) diffusait une entrevue avec Caroline Montel-Glénisson autour de son livre Un tour de France canadien. Le 24 avril, Andréa Richard était l’invitée de Denis Lévesque sur les ondes de TVA/LCN pour parler, entre autres, de son livre L’Essence de la vie. Christian Hébert (NCSM Montcalm), quant à lui, passera une heure en compagnie de Gilles Proulx vendredi le 2 mai de 14 à 15 heures sur les ondes du 98,5.
Côté Web, sur le site Made in Québec, on peut lire deux comptes rendus élogieux de L’Erreur et de Exilés au nom du roi. Pendant que nous y sommes, je vous invite également à écouter l’entrevue de Josianne Paul à l’émission Divines tentations (Radio-Canada Ottawa). Franco-Amérique reçoit une très bonne note sur les sites ServicesMontréal.com et Culture Hebdo. On pourrait en dire autant de Entre poudrés et poudreux sur ces deux mêmes plateformes. Toujours sur Culture Hebdo, on a souligné la parution de NCSM. On a également parlé de Franco-Amérique sur la chaîne Axion Câble (télé) en Beauce. Une critique savante sur le livre Rodolphe Mathieu est parue dans la revue spécialisée MENS.
Et pour finir, dans son article de samedi dernier dans Le Devoir, Antoine Robitaille soulignait l’importance du livre de Jean-Philippe Warren Sortir de la « Grande noirceur » que nous avons fait paraître en 2002.
Voilà qui complète cette première chronique!
Éric