Pu capable.
Abandon à la page 108. C’est confus comme ça ne se peut pas et ce n’est pas très bien écrit.
Selon moi, Anna Gavalda s’est complètement gourée.
11 réflexions au sujet de « La Consolante »
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Pu capable.
Abandon à la page 108. C’est confus comme ça ne se peut pas et ce n’est pas très bien écrit.
Selon moi, Anna Gavalda s’est complètement gourée.
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Laurence du Biblioblog en a dit à peu près la même chose!
Ça donne pas envie de se tenter. Ça donne un peu l’impression qu’à vouloir se détacher de son image d’écrivaine populaire elle a pris le faussé…
Je ne me suis pas découragée mais j’avoue que c’est parfois long
C’est dommage, ça devient vraiment bien à la deuxième partie vers la page 150, je sais c’est long pour qu’un roman devienne captivant mais c’est vaut la peine, on retrouve tout ce qui a fait le succès de Gavalda mais je confirme que ce n’est pas son meilleur roman.
Gavalda, beurk !
Catherine, je ne sais pas trop mais c’est du moins un faux-pas.
gambadou, je te trouve bien courageuse!
Audrey, je n’ai pas cette patience. La lecture doit être un plaisir et non un supplice. L’éditeur aurait dû mieux faire son travail sur ce livre. C’est inadmissible un mauvais début comme celui-là.
Réjean, « Ensemble, c’est tout » était tout de même très bien ainsi que son recueil de nouvelles.
Oh pourtant, c’est cette écriture dite confuse que j’ai tant aimée. Et la structure en bribes s’efface peu à peu pour faire place à un récit plus suivi. Mais je comprends qu’on ne devrait pas demander à un lecteur d’être patient, pourquoi le tester juste pour s’assurer qu’il «mérite» de voir toute la beauté dans l’histoire? Néanmoins, je crois que toutes les pages de ce roman en valent la peine. Mais ce n’est que mon humble avis!
Éric, je n’ai plus de mots pour exprimer à quel point je déteste cette auteure dont les livres sont remplis de bons sentiments. Son recueil avait juste une qualité : le titre. Pour le reste, les nouvelles ne m’ont pas plu. Comme vous, je n’ai plus la patience de lire un livre quand le début ne m’accroche pas.
Quel dommage! « Ensemble c’est tout » était tellement un « feel good book »!
Toutefois je ne pourrai m’empêcher de juger par moi-même quand je pourrai un jour mettre la main dessus (comme je me fie sur ma bibliothèque de quartier, ce n’est pas demain la veille!).
Pour le travail de l’éditeur, je suis d’accord, Éric. Quand ils ont vu qu’elle avait perdu le premier quart de l’oeuvre et qu’elle a dû tout recommencer de mémoire, ils auraient dû s’entendre pour lui accorder plus de temps.
Avouons tout de même que c’est un incident très difficile pour un auteur.
Moi, je l’ai déjà acheté! Alors je le lirai. Mais je vais me fier sur les autres commentaires qui mentionnent que ça s’améliore à partir de la page 150.
Je suis d’accord avec toi que, pour un éditeur et un auteur, le début d’un livre doit mettre l’eau à la bouche du lecteur. Il faut que ça l’accroche. Sinon, il faut s’attendre à ce que certains (et surtout ceux qui ne sont pas des inconditionnels), décrochent.
En plus, il n’est pas donné, le bouquin! Ici, il frise les 45$ Non mais!
J’avais beaucoup aimé Ensemble, c’est tout, ce qui fait que j’ai persévéré malgré tout pour La consolante, mais j’avoue que, de mon côté, j’ai dû attendre la page 300 environ avant d’apprécier… Un peu long comme départ!!!