Après avoir failli l’abandonner en cours de route, j’ai fini par finir de lire Le Ciel de Bay city de Catherine Mavrikakis.
Il mérite amplement tout le succès qui l’entoure.
Sauf que moi, je ne suis pas parvenu à vraiment embarquer dans cet univers désespéré.
3 réflexions au sujet de « Le Ciel de Bay city »
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Paradoxal quand même : excellent, mais tu n’embarques pas !
Toi, qui te dis porté vers le « noir » dans l’écriture en plus, j’en suis toute confuse.
Heureusement, j’ai ce roman entre les mains depuis un petit bout, je vais me démêler avec mon propre regard.
À moins que sa désespérance me désespère moi aussi !
Ce n’est pas paradoxal. Je reconnais les qualités de ce roman, mais, noir ou pas, il y a quelque chose dans l’écriture et son rythme qui va à l’encontre de ce qui me rejoint habituellement.
Je suis ambivalente face à ce roman, moi aussi. Donc j’ose difficilement me prononcer. Ai-je aimé? Pas sûre. Détesté? Certainement pas!
Mais c’est un roman qui se distingue. Une écriture d’une grande qualité. Une réflexion qui a sa place. Bref, beaucoup d’ingrédients intéressants.