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CHAPITRE 4 : Dans les pays d’en haut
Le 22 août 1659
Depuis qu’ils ont quitté la rivière des Outaouais pour remonter l’un de ses affluents, en direc- tion du sud, Radisson sent baisser la tension. Malgré ses réflexes naturels de prudence, il fait confiance à l’expérience de Des Groseilliers qui affirme que les Iroquois ne viennent plus par ici pour guerroyer, ni même pour chasser, ou pêcher. Le pire est passé. Ils n’auront sans doute plus à combattre avant long- temps. Il se sent également plus en sécurité avec les Saulteux qui leur ont démontré leur fidélité, leur honnêteté et leur courage. Il tente d’oublier la mort des siens et de leurs ennemis…
Référence : FOURNIER, Martin. Les Aventures de Radisson : L’année des surhommes. Tome 3. Québec, Les éditions du Septentrion, 2016, p. 107-108.
La chair du maskinongé était très appréciée des Amérindiens.
Référence : Les poisons d’eau douce du Canada, A.-N. Montpetit, Beauchemin et fils, Montréal, 1897.
La roche du bouclier canadien plonge à plusieurs endroits dans les lacs Huron et Supérieur.
Référence : © Martin Fournier, tous droits réservés; Lake Superior Provincial Park, Ontario, 2013.
Les bleuets sauvages étaient une source de nourriture pour les voyageurs.
Référence : © Martin Fournier, tous droits réservés; Parc national des Grands Jardins, Québec, 2015.
Un rivage plus accueillant du lac Huron.
Référence : © Martin Fournier, tous droits réservés; Thessalon, Ontario, 2013.
Un endroit propice pour établir le campement pour la nuit.
Référence : © Martin Fournier, tous droits réservés; Thessalon, Ontario, 2013.
Rivage de l’île Manitoulin, dans le lac Huron.
Référence : © Martin Fournier, tous droits réservés; île Manitoulin, Ontario, 2011.
L’île Manitoulin était un territoire de chasse fréquenté par les Cheveux Relevés (Outaouacs); on y trouvait des wapitis.
Référence : © Martin Fournier, tous droits réservés; Parc national de Banff, 2011.