Ce blog commence et mon travail comme graphiste est terminé!
Les PDF du livre sont gravés sur CD et on ne peut plus rien changer… Glups!
L’aventure avait pourtant commencé tranquillement dans les derniers mois de 2006. Puis, mon travail a véritablement pris son envol qu’en début janvier quand nous avons reçu les versions finales des trois carnets.
Avant cette date, nous ne parlions que vagement de concepts de couvertures. Nous nous trouvions très audacieux d’insérer une sélection de quelques commentaires ici et là dans la mise en page, comme dans les carnets originaux. Pendant une heure de dîner, nous discutions qu’il serait peut-être intéressant de concevoir un coffret pour vendre les trois en même temps (pourquoi pas?)…
Nous avions tous beaucoup d’idées et de visions quelques fois bien différentes sur cette collection (où sous-collection?), mais pas véritablement de concensus. Sauf sur le format du livre qui allait être petit (5″ par 6,5″)…
Et puis finalement, nos trois carnetiers ont vendu la mèche avant Noël. Momentum oblige, nous avons avancé la date de sortie en mars plutôt qu’au printemps! Ouch!…
À suivre
4 réflexions au sujet de « Je croise les doigts… [première partie] »
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Le 15 mars, c’est quand même bien juste une semaine avant le printemps
Ne me dites pas que tout est toujours la faute des auteurs!
C’est très réussi comme concept. En ce moment, dans ma blibliothèque, ce qui trône avec la couverture en vedette (plutôt que la tranche), c’est Paul à la pêche, parce que je trouve la couverture superbe, et j’y compare ton travail avantageusement.
Je trouve tes 3 réalisations d’une grande simplicité tout en gardant une esthétique très recherchée. C’est le genre de livre qu’on a envie de laisser trainer. Souvent, les couvertures crient pour qu’on les regarde et c’est dans ce temps là qu’on détourne le regard. Quand elles sont si simples et si douces on a envie de les prendre et d’en prendre soin. Ça donne le goût de posseder les 3 objets.
Bravo!
Oui, en effet, non seulement l’idée de publier des « livroblogs » est en soi une petite révolution de la littérature. Mais, le « look »! Le « look » d’Hamac-carnets a une personnalité craquante.
Comme dit cammionneuse, on a presque le goût de faire un peu plus qu’une lecture de chevet avec. Sans faire de mauvais jeux de mots.
On peut dire que les blogs vont connaître un nouveau chez-soi dans cette collection.
Et j’ai l’impression que ces lancements vont confirmé ce que plusieurs pensent déjà silencieusement: les blogs vivent et font vivre une littérature nouvelle et moderne.
L’apparence de ces carnets montrent bien la fraîcheur, la jeunesse du concept, mais aussi son côté insaisissable.
Bravo!