Hier soir dans l’autobus, en refermant le dernier Laurent Gaudé La porte des enfers, j’avais vraiment l’impression d’y être allés.
Laurent Gaudé signe un roman intense sur le deuil en utilisant l’enfer comme symbole. C’est en même temps un prenant témoignage sur le lien filial.
C’est évidemment sombre.
Un des meilleurs romans que j’ai pu lire cette année.
Une réflexion au sujet de « La porte des enfers »
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Ce roman-là me tente beaucoup. Je crois que vous m’avez convaincu.