Aujourd’hui 3 octobre, je fais une lettre personnelle à M. Philippe Dubé. Par délicatesse, je lui laisse le temps d’en prendre connaissance avant de la publier ici.
De toute façon, cette « histoire » ne fait que commencer. Pour les plus curieux, je signale que mon ami Gaston Deschênes a été fort vigilant au cours des derniers mois. On consultera avec intérêt son blogue parmi les auteurs du Septentrion.