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Les Laurentides

 

Quel lien peut-il bien y avoir entre François-Xavier Garneau et les Laurentides? Garneau est né à Québec en 1809, il y a passé sa vie et il y est décédé en 1866. Et c’est dans la capitale qu’il a écrit son œuvre majeure, son «Histoire du Canada depuis sa découverte jusqu’à nos jours», qui lui a valu le surnom «d’historien national». Il voulait ainsi répondre au gouverneur lord Durham qui affirmait que le Bas-Canada n’avait ni histoire, ni littérature. Le premier tome de cette histoire est publié à Québec en 1845. Dans la section faisant la description du Canada, Garneau décrit la chaine de montagnes qui couvre le bouclier canadien, au nord du Saint-Laurent, du lac Témiscamingue jusqu’au Labrador. Et il précise: «Cette chaîne n’ayant pas de nom propre et reconnu, nous lui donnons celui de Laurentides qui nous paraît bien adapté à la situation de ces montagnes qui suivent une direction parallèle au Saint-Laurent.» Ce nouveau toponyme est vite accepté et adopté et il donnera à son tour naissance à d’autres toponymes, que ce soit la ville, la région administrative, une MRC, la réserve faunique ou encore des rues. On peut donc affirmer sans se tromper que les Laurentides sont nées à Québec en 1845 et que c’est François-Xavier Garneau qui a signé leur acte de naissance.

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Photographie : Le monument de François-Xavier Garneau, Wikimédia.

Source de l’article: Page Facebook de la Société historique de Québec.

La chapelle St. John’s

 

Le 7 avril 1817 était inaugurée la St. John’s Chapel. De culte congrégationaliste, cette église était située sur la rue Ferland, au sud de la rue Couillard, dans le quartier latin. À cette époque, la rue Couillard s’appelait Saint-Joachim et la rue Ferland portait le nom de Saint-François. Il s’agissait d’une belle demeure d’inspiration victorienne. Personne ne peut se douter qu’il y avait auparavant une église à cet endroit. En 1830, elle s’associe à l’Église presbytérienne du Canada, elle-même associée à l’Église libre d’Écosse. En 1853, les fidèles qui la fréquentaient abandonnent ce lieu de culte au profit du nouveau temple de la rue Sainte-Ursule, l’église Chalmers Wesley. En 1857, l’édifice abandonné sur la rue Ferland devient le Quebec Temperance Hall puis, quelques années plus tard, le Citizens Assembly Hall. Il y a quelques années, l’ancien temple a été démoli pour faire place à un immeuble à condos.

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Iconographie : Plan de la ville de Québec (détail), 1840, Alfred Hawkins, BAnQ, G,3454,Q4,1840,H38-CAR.

Source de l’article: Page Facebook de la Société historique de Québec.

Salon international du livre de Québec 2017

 

Plusieurs de nos auteurs seront présents au Salon international du livre de Québec cette année. Ils se feront un plaisir de signer vos exemplaires ou simplement d’échanger avec vous ! Voici l’horaire du Septentrion (stand 157):

MERCREDI 5 AVRIL

Animation avec Alain Asselin et Jacques Mathieu (Curieuses histoires de plantes du Canada) à 16h sur la Scène Radio-Canada.

Animation avec Jacques Mathieu (La Vie méconnue de Louis Hébert et Marie Rollet) à 17h sur la Scène Radio-Canada.

Animation avec Martin Fournier (Les Aventures de Radisson) à 17h15 sur la Scène Radio-Canada.

 

JEUDI 6 AVRIL

14h-15h : Dean Louder (Franco-Amérique NE)

18h30-19h30 : Jocelyn Saint-Pierre (La Tribune de la presse à Québec depuis 1960)

 

Animation avec Jean Cloutier et Jean-Pierre Charest (Les Bateaux-phares du Saint-Laurent) à 12h sur la Scène Radio-Canada.

Entrevue avec Martin Fournier (Les Aventures de Radisson) à 13h35 sur la scène des Rendez-vous littéraires.

Entrevue avec Dean Louder (Franco-Amérique NE) à 15h15 au stand du Septentrion.

 

VENDREDI 7 AVRIL

14h-15h : Alain Asselin, Jacques Cayouette et Jacques Mathieu (Curieuses histoires de plantes du Canada)

15h-16h : Jacques Mathieu et Alain Asselin (La Vie méconnue de Louis Hébert et Marie Rollet)

18h-19h : Martin Fournier (Les Aventures de Radisson)

18h30-19h30 : Alain Asselin, Jacques Cayouette et Jacques Mathieu (Curieuses histoires de plantes du Canada)

19h-20h : Jean Cloutier et Jean-Pierre Charest (Les Bateaux-phares du Saint-Laurent)

19h30-20h30 : Marjolaine Saint-Pierre (Louise Beaudet)

 

SAMEDI 8 AVRIL

10h-11h : Martin Fournier (Les Aventures de Radisson)

10h30-11h30 : Yvon Codère (Contes et mystères de la forêt NE)

11h-12h : Jean Cloutier et Jean-Pierre Charest (Les Bateaux-phares du Saint-Laurent)

11h30-12h30 : Marjolaine Saint-Pierre (Louise Beaudet)

13h30-14h30 : Jocelyn Saint-Pierre (La Tribune de la presse à Québec depuis 1960)

14h-15h : Nicolas Bertrand (Une école à la dérive)

14h30-15h30 : Yvon Codère (Contes et mystères de la forêt NE)

15h-16h : Alain Asselin, Jacques Cayouette et Jacques Mathieu (Curieuses histoires de plantes du Canada)

15h30-16h30 : Ginette Chenard (Le Sud des États-Unis)

16h-17h : Jacques Mathieu et Alain Asselin (La Vie méconnue de Louis Hébert et Marie Rollet)

19h-20h : Dean Louder (Franco-Amérique NE)

20h-21h : Éric Poirier (La Charte de la langue française)

 

Table ronde avec Nicolas Bertrand (Une école à la dérive) à 13h sur la Scène Radio-Canada.

Table ronde avec Ginette Chenard (Le Sud des États-Unis) à 14h30 sur la Scène des Rendez-vous littéraires.

Table ronde avec Éric Poirier (La Charte de la langue française) à 19h sur la Scène des Rendez-vous littéraires.

 

DIMANCHE 9 AVRIL

10h-11h : Martin Fournier (Les Aventures de Radisson)

10h30-11h30 : Ginette Chenard (Le Sud des États-Unis)

11h-12h : Yvon Codère (Contes et mystères de la forêt NE)

11h30-12h30 : Éric Waddell (Franco-Amérique NE)

13h-14h : Marjolaine Saint-Pierre (Louise Beaudet)

14h-15h : Jean Cloutier et Jean-Pierre Charest (Les Bateaux-phares du Saint-Laurent)

 

Table ronde avec Marjolaine Saint-Pierre (Louise Beaudet) à 11h sur la Scène Radio-Canada.

Le palais de glace de 1894

 

Du 29 janvier au 3 février 1894, Québec présentait son premier carnaval d’hiver. L’événement avait été organisé à l’initiative de Frank Carrel, éditeur du Quebec Daily Telegraph. Et le clou de cette première édition avait été le palais de glace. Il s’agissait d’une époque où on ne lésinait pas sur les blocs de glace. En effet, ce château avait été construit sur le rempart, entre l’esplanade et l’Hôtel du Parlement, et il atteignait la hauteur d’un édifice de sept étages. Il était flanqué, de part et d’autre, par deux redoutes. L’avant dernière soirée des festivités avait été consacrée à l’attaque du palais. Devant 60000 spectateurs massés devant le Parlement, 2000 raquetteurs, appuyés par des centaines de soldats du Royal Canadian Artillery, du 8th Royal Rifles et par des Hurons et Montagnais, s’étaient déplacés dans une parade aux flambeaux, du manège militaire jusqu’au lieu de combat. Par la suite, ils avaient pris d’assaut la structure de glace dans une chorégraphie de feux d’artifice. Ce spectacle pyrotechnique avait duré 45 minutes et avait coûté à lui seul plusieurs milliers de dollars. Hormis cette activité bien spéciale, ce carnaval avait offert un programme fait d’activités sportives, dont une course de canots sur les glaces du fleuve, plusieurs bals et un défilé. Une autre édition du carnaval d’hiver avait été présenté l’année suivante avec un palais tout aussi grandiose.

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Photographie 1 : Palais de glace du carnaval d’hiver de 1894, BAnQ, collection initiale, Louis-Prudent Vallée, P600,S6,D1,P823.

Photographie 2 : Palais de glace du carnaval d’hiver de 1895, BAnQ, collection initiale, P600,S6,D1,P824.

Source de l’article: Page Facebook de la Société historique de Québec.

Vue de la Grande Allée en direction est, hiver 1884-1885

 

Voici la vue qu’avaient ceux qui descendaient la Grande Allée en cet hiver typique. À gauche s’élève le parlement, dont on aperçoit une partie de l’aile Saint-Louis construite entre 1877 et 1879. L’édifice massif au centre de la photo retient l’attention: le Quebec Skating Rink, érigé en 1877 au nord de la Grande Allée, longe les fortifications. Cette patinoire intérieure, déménagée au sud de cette rue en 1889 et rebâtie complètement en 1891, sera le témoin en 1912 et en 1913 de la victoire des Bulldogs de Québec, qui remporteront alors la coupe Stanley. À côté, la porte Saint-Louis, de style château, remplace à partir de 1878 la vieille porte démolie en 1871. La Grande Allée, élargie en 1886, devient une rue prestigieuse où hommes politiques et riches bourgeois de Québec se font construire de luxueuses résidences. Quelques-unes s’élèvent à droite. Plusieurs d’entre elles seront rasées au tournant des années 1960-1970 pour faire place à l’édifice Jean-Talon.

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Photographie : Vue de la Grande Allée en direction est, hiver 1884-1885, James Peters/Bibliothèque et Archives Canada/e011156594_s3.

Tiré du Calendrier des vues anciennes de Québec – Janvier 2017

Texte: Lilianne Plamondon

Source de l’article: Page Facebook de la Société historique de Québec.

La rue Sainte-Anne vers 1807

 

Cette gravure de George Heriot nous permet de voir une perspective tout à fait inédite de Québec. L’artiste se trouvait en bordure de la rue Sainte-Anne, adossé à la redoute Royale (aujourd’hui Morrin Centre), sur le terrain qui allait être occupé à partir de 1810 par l’église presbytérienne St. Andrew. Le terrain semble être transformé en chantier de construction. Peut-être s’affaire-t-on à construire justement la future église écossaise. De l’autre côté de la rue, derrière le mur de pierre, se trouve l’ancienne propriété des Jésuites. L’espace aujourd’hui occupé par l’ancienne Académie commerciale était alors un terrain boisé. À l’arrière-plan, on aperçoit le collège des Jésuites, transformé en caserne militaire, de même que leur chapelle qui était utilisée, quant à elle, en dépôt de munition. Elle sera démolie en 1807. Encore plus en arrière, on devine la cathédrale catholique Notre-Dame. Au loin se profilent la côte de Beaupré, l’île d’Orléans et la Pointe-de-Lévy. Cette gravure est conservée à Bibliothèque et Archives Canada et elle est intitulée «Scène près de la Grande Batterie [sur la rue des Remparts]». Il s’agit évidemment d’une erreur.

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Iconographie : La rue Sainte-Anne avec vue sur le collège des Jésuites vers 1807, aquarelle de George Heriot, Bibliothèque et Archives Canada, négatif no C-151100.

Source de l’article: Page Facebook de la Société historique de Québec.

L’ancienne rue du Parloir

 

Aux petites heures du 29 novembre 1841, il y a 175 ans, le bureau de poste de Québec était détruit par un incendie. Les pertes sont importantes puisque le courrier et les archives sont alors détruits. Ce bureau était situé sur la rue du Parloir. Pourtant, on n’a jamais vu de bureau de poste situé sur la rue du Parloir actuelle. Elle a toujours été occupée par le monastère des Ursulines et par des résidences privées. En fait, il y a eu une époque où la ville de Québec avait deux rues du Parloir. Celle qui accueillait le bureau de poste amorçait sa course sur la rue des Remparts, au sommet de la côte de la Montagne. Située derrière la cathédrale catholique, il s’agissait d’une rue sans issue, se butant au Séminaire de Québec. À la suite de l’incendie, le bureau de poste sera temporairement logé dans l’édifice du parlement de la côte de la Montagne avant d’être relocalisé, en 1845, dans l’édifice du Chien-d’Or. Il se trouve toujours aujourd’hui sur le même terrain. Quant à la rue du Parloir, elle disparaîtra. En effet, en 1843, Mgr Signay achetait le terrain vacant où se trouvait le bureau de poste incendié pour y construire le nouveau palais épiscopal. De nos jours, il est toujours occupé par l’archevêque et c’est son stationnement qui occupe l’ancienne rue du Parloir.

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Iconographie : Localisation de l’ancienne rue du Parloir, extrait de la carte «Plan of the City of Quebec» d’Alfred Hawkins, 1840, BAnQ, G,3454,Q4,1840,H38 CAR.

Source de l’article: Page Facebook de la Société historique de Québec.

Nos auteurs au Salon du livre de Montréal 2016

 

 

Nos auteurs et notre équipe sont revenus du Salon du livre de Montréal encouragés par toutes ces merveilleuses rencontres. Merci à tous les lecteurs qui se sont déplacés !

 

Jean-Pierre Charest et Jean Cloutier

Les Bateaux-phares du Saint-Laurent

En aval de Québec, 1830-1963

SLM CHAREST CLOUTIER

Raymonde Beaudoin

La Vie dans les camps de bûcherons au temps de la pitoune

Deuxième édition

SLM BEAUDOIN

Robert Aird et Marc-André Robert

L’Imaginaire comique dans le cinéma québécois

1952-2014

SLM AIRD ROBERT

Ginette Chenard

Le Sud des États-Unis

SLM CHENARD

Yvon Codère

Contes et mystères de la forêt , nouvelle édition

Échos des Premières Nations

SLM CODÈRE

Martin Fournier

Les Aventures de Radisson, tome 3

L’année des surhommes

SLM FOURNIER

Yvon Desloges

Sous les cieux de Québec

Météo et climat, 1534-1831

SLM DESLOGES

Joseph Gagné

Inconquis

Deux retraites françaises vers la Louisiane après 1760

SLM GAGNÉ

Benoît Grenier

Nouveaux regards en histoire seigneuriale au Québec 

SLM GRENIER

Julie Guyot

Les Insoumis de l’Empire

Le refus de la domination coloniale au Bas-Canada et en Irlande

SLM GUYOT

Jocelyn Saint-Pierre

La Tribune de la presse à Québec après 1960

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Jean-Charles Panneton

Le Gouvernement Lévesque, tome 1

De la genèse du PQ au 15 novembre 1976

SLM PANNETON

Nicolas Bertrand

Une école à la dérive

Essai sur le système d’éducation au Nunavik

nicolas_bertrand (Marie-Christine Poutré)

Éric Poirier

La Charte de la langue française

Ce qu’il reste de la loi 101 quarante ans après son adoption

eric_poirier (Édith Poudrier)

Élisabeth Vallet, Frédérick Gagnon et Ginette Chenard en animation avec Guillaume Lamy

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Salon du livre de Montréal 2016

Plusieurs de nos auteurs seront présents au Salon du livre de Montréal cette année. Ils se feront un plaisir de signer vos exemplaires ou simplement d’échanger avec vous! Voici l’horaire des auteurs du Septentrion (stand 400):

Jeudi 17 novembre

17h-18h : Julie Guyot (Les Insoumis de l’Empire)L97828944887371

18h-19h : Yvon Desloges (Sous les cieux de Québec)

18h30-19h30 : Éric Poirier (La Charte de la langue française)

19h-20h : Jocelyn Saint-Pierre (La Tribune de la presse à Québec depuis 1960)

19h30-20h30 : Jean-Charles Panneton (Le Gouvernement Lévesque, tome 1)

 

Vendredi 18 novembre

13h-14h : Yvon Codère (Contes et mystères de la forêt)

14h-15h : Joseph Gagné (Inconquis)

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14h30-15h30 : Ginette Chenard (Le Sud des États-Unis)

15h-16h : Nicolas Bertrand (Une école à la dérive)

15h30-16h30 : Martin Fournier (Les Aventures de Radisson, tome 3)

18h-19h : Jean-Charles Panneton (Le Gouvernement Lévesque, tome 1)

18h30-19h30 : Jocelyn Saint-Pierre  (La Tribune de la presse à Québec depuis 1960)

19h-20h : Jean Cloutier et Jean-Pierre Charest (Les Bateaux-phares du Saint-Laurent)

19h30-20h30 : Nicolas Bertrand (Une école à la dérive)

 

 Samedi 19 novembre

10h30-11h30 : Yvon Codère (Contes et mystères de la forêt)

12h30-13h30 : Joseph Gagné (Inconquis)

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13h-14h : Benoît Grenier (Nouveaux regards en histoire seigneuriale au Québec)

13h30-14h30 : Martin Fournier (Les Aventures de Radisson, tome 3)

14h30-15h30 : Jean Cloutier et Jean-Pierre Charest  (Les Bateaux-phares du Saint-Laurent)

15h-16h : Jocelyn Saint-Pierre  (La Tribune de la presse à Québec depuis 1960)

15h30-16h30 : Marc-André Robert et Robert Aird  (L’Imaginaire comique dans le cinéma 

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16h-17h : Ginette Chenard (Le Sud des États-Unis)

16h30-17h30 : Julie Guyot (Les Insoumis de l’Empire)

18h30-19h30 : Yvon Desloges (Sous les cieux de Québec)

19h-20h : Jean Cloutier et Jean-Pierre Charest  (Les Bateaux-phares du Saint-Laurent)

19h30-20h30 : Jean-Charles Panneton (Le Gouvernement Lévesque, tome 1)

 

Dimanche 20 novembre

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10h30-11h30 : Nicolas Bertrand (Une école à la dérive)

14h-15h : Yvon Desloges (Sous les cieux de Québec)

14h30-15h30 : Yvon Codère (Contes et mystères de la forêt)

15h-16h : Marc-André Robert et Robert Aird (L’Imaginaire comique dans le cinéma québécois)

15h30-16h30 : Joseph Gagné (Inconquis)

16h-17h : Raymonde Beaudoin (La Vie dans les camps de bûcherons au temps de la pitoune)

16h15-17h à l’Agora: Animation Comprendre les États-Unis avec Élisabeth Vallet (Comprendre les élections américaines), Ginette Chenard (Le Sud des États-Unis) et Frédérick Gagnon (Les États-Unis d’Amérique)

18h-19h : Raymonde Beaudoin (La Vie dans les camps de bûcherons au temps de la pitoune)

Le Grand Dérangement

Il y a 260 ans débutait la Déportation des Acadiens, une des sombres pages de notre histoire.

Dans les deux tomes de Vivre la Conquête, plusieurs destins individuels d’Acadiens déportés sont retracés. Serge Patrice Thibodeau écrit : « Plus d’un millier d’Acadiennes et d’Acadiens amorcent dès lors une longue migration qui s’amplifiera considérablement et qui ne s’arrêtera qu’un demi-siècle plus tard. Marguerite Blanche Thibodeau et sa famille sont du nombre ».

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Plusieurs auteurs du Septentrion se sont aussi intéressés à cette question.

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