La cité des jarres

Amateurs de la série Millénium, si vous ne connaissez pas les romans d’Arnaldur Indridason, courez chez votre libraire pour vous les procurer.
L’an dernier, j’avais lu La voix, le troisième de la série des enquêtes du commissaire Erlendur, et j’avais beaucoup aimé. Cette semaine, j’ai carrément dévoré le premier de la série La cité des jarres. C’est encore meilleur que l’autre.
Il n’y a pas de personnages aussi forts comme ceux qu’on retrouve dans Millénium, mais pour le reste, Indridason n’a rien à envier au talent de Larsson. Je dirais même que La cité des jarres est plus efficace car plus ramassé (le roman ne fait que 325 pages).
Inutile de vous en dire plus. Je vous laisse le plaisir de découvrir cette fascinante intrigue.
Si vous avez le goût d’une petite virée saisissante (et un peu glauque) en Islande, La cité des jarres vous attend.

3 réflexions au sujet de « La cité des jarres »

  1. salut
    les romans d’Arnaldur sont noirs comme le cauchemar que l’island traverse depuis que que la crise de la finance s’est abattue sur le village « global ».
    ils révèlent un malaise insulaire à travers celui que vivent les gamins complètement paumés de
    ce flic tiraillé entre job et vie de famille.la construction du roman fondée sur un fait divers passé montre une société qui semble encore profondément repliée sur elle même.
    ciao

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