Septentrion dans les médias #6

Lentement mais sûrement, la saison continue d’avancer et nous offre déjà son lot de couvertures de presse.
À venir
Pierre-Léon Lalonde, qui s’apprête à faire paraître le tome 2 (10 mars) de ses chroniques intitulées Un taxi la nuit, est l’un des invités de l’émission Mise à jour du 4 février (18:30) à l’antenne de Canal vox. Le thème est Taxi en révolution.
José del Pozo, quant à lui, sera interviewé par Anne Godin de l’émission Anne et compagnie (Radio-Canada Moncton). L’entretien portera sur la toute nouvelle édition de son livre Histoire de l’Amérique latine et des Caraïbes. Ça se passe le samedi 7 février prochain. Pour vous faire patienter, vous pouvez lire l’excellent papier que le site Internet Made in Québec a consacré au livre.
Radio
Pour revenir à l’émission Anne et compagnie, le 31 janvier dernier, c’était au tour de Denis Vaugeois d’être interviewé par Anne Godin. Ils ont discuté de la réimpression du livre Voyage au Canada de John Lambert.
Frédérick Durand, de l’émission Le Voyage insolite diffusée sur les ondes du 89,1 à Trois-Rivières, a recommandé chaudement le livre de Yves Lever Anastasie ou la censure du cinéma au Québec.
Revues spécialisées
Dans son dernier numéro, la revue Recherches sociographiques de l’Université Laval commente Mémoires d’un piéton de Jean Cimon. Dans Scientia Canadensis de l’UQAM, on trouve des comptes-rendus de Terra Nostra et de Managing Canada’s Fisheries.
Internet
Avant que ne paraisse le second tome des Chroniques d’une mère indigne, titre très attendu s’il en est un, le site ServicesMontréal.com s’est intéressé au premier qui connaît un succès qui ne se dément pas depuis sa sortie au printemps 2007.
En terminant, si jamais vous tombez sur une recension de l’un de nos livres, que ce soit dans les journaux, les revues, sur le web, à la radio ou à la télévision, n’hésitez pas à nous en faire part en nous écrivant à sept@septentrion.qc.ca
Merci beaucoup!

Programme éditorial : printemps 2009

Voici le programme éditorial que nous vous avons concocté pour la nouvelle saison qui commence à peine:
Essais
Histoire de l’Amérique latine et des Caraïbes : De l’indépendance à nos jours (nouvelle édition), José del Pozo: Dans cette deuxième édition, mise à jour, l’auteur intègre une période clé de l’histoire de l’Amérique latine, celle de l’effondrement des empires coloniaux. Enrichie de nombreux tableaux, de plusieurs cartes historiques et d’une iconographie abondante, cette nouvelle édition demeure l’ouvrage de référence sur l’histoire de l’Amérique latine et des Caraïbes. Sortie prévue : 27 janvier
Les Fonctionnaires, Jean Laliberté : La plupart des gens entretiennent des préjugés sur les fonctionnaires. Mais connaissent-ils vraiment le fonctionnement ? Le trait le plus caractéristique de la fonction publique est sa nature bicéphale, à la fois politique et administrative. Les fonctionnaires sont entraînés malgré eux dans le jeu politique au cœur de la culture organisationnelle. Après avoir décrit les différentes particularités de la fonction publique, le livre dévoile les vraies règles du jeu, les stratégies des gagnants, les talents qu’il importe de maîtriser, les tactiques utilisées et les pièges qui doivent être évités par les fonctionnaires qui veulent réussir ou simplement survivre. L’ouvrage intéressera bien sûr ceux qui œuvrent dans la fonction publique ou qui y ont travaillé, mais certainement aussi ceux qui traitent avec elle, c’est-à-dire la presque totalité des citoyens. Sortie prévue : 24 février
Les Réfugiés acadiens en France (1758-1785) : L’impossible réintégration ?, Jean-François Mouhot : Trente ans – presque jour pour jour – avant l’arrivé du Bon Papa à La Nouvelle-Orléans, sept ou huit fois plus d’Acadiens s’apprêtaient à embarquer dans des vaisseaux au départ de la Nouvelle-Écosse, à l’extrémité sud-est du Canada. Entre le 28 et le 31 juillet 1755, en effet, le gouverneur anglais de cette colonie, Charles Lawrence, en prélude à la guerre de Sept Ans, prenait la décision d’expulser tous les habitants d’origine française relevant de son territoire pour les disperser dans les Treize Colonies anglo-américaines. Joseph LeBlanc, alors âgé de vingt-cinq ans, originaire du bassin des Mines, fit partie de ceux qui furent transportés en Virginie, puis de cette colonie en Angleterre. Plusieurs autres proscrits de l’été 1755, ayant suivi des trajectoires parallèles à la sienne, se trouvaient à bord du même navire. Joseph LeBlanc et ses compagnons pensaient-ils aux circonstances de leur premier départ, trente ans auparavant, en s’éloignant des côtes bretonnes ? Pourquoi quittait-il la France ? Sortie prévue : 3 mars
Au-delà de la religion : pour une spiritualité laïque (édition revue et augmentée), Andréa Richard : Andréa Richard, qui a vécu 18 ans de vie religieuse active et contemplative, est redevenue laïque. Au-delà de la religion se veut une réflexion personnelle sur une nouvelle façon de concevoir la spiritualité à travers une vision plus saine de la religion et des obligations, contraintes et promesses qu’elle véhicule. Si ce livre peut avoir des allures de pamphlet ésotérique ou antireligieux, il n’en est rien. André Richard tente de demeurer réaliste et objective dans sa recherche de solutions. Elle ose remettre en question la pertinence de la religion et de la pratique religieuse et propose, en remplacement, une spiritualité laïque transmise par l’enseignement d’une philosophie réaliste explorant les grands enjeux de la société actuelle.
Sortie prévue : 10 mars
La Vie musicale à Trois-Rivières 1920-1960, Amélie Mainville : La ville de Trois-Rivières constitue un laboratoire particulièrement intéressant pour étudier la vie culturelle régionale. À l’intérieur même des murs de la ville, la vie musicale présente de multiples visages qui vont du concert symphonique aux prestations jazz, sans oublier la chanson populaire. L’objectif principal de cet ouvrage est de mettre en lumière les conditions locales, et notamment les facteurs sociaux, grâce auxquels la vie musicale s’est développée à Trois-Rivières entre 1920 et 1960. Dans un contexte de précarité presque constante, alors que les ensembles musicaux permanents étaient peu nombreux, les réseaux de diffusion déficients et le financement insuffisant, le milieu musical trifluvien est apparu doté d’une vitalité croissante, puis déclinante. Sortie prévue : 10 mars

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Génial

Par curiosité et par fidélité à mes origines, j’ai une alerte Google au nom Vaugeois.

J’ai un lointain cousin qui s’illustre au soccer.

O.K. que j’ai raison d’être fier!

On leur prédit une victoire pour ce soir 22 janvier 2009.

Génial

LaDépêche.fr – Toulouse,France

Paris FC: Lucas, Bennai, Valeri, Weber, Diawara, Vaugeois, Losilla, Macalou, Kiaku, Tangeaoui, Mensah, Sarr, Bono, Mayuma, N’Guema, Yenga.

Je jette mes ongles par la fenêtre

On ne peut pas dire que la couverture soit particulièrement belle ni que le titre soit particulièrement bien choisi. Pourtant, le recueil de nouvelles de Natalie Jean, lui, est très réussi. C’est plutôt dommage que ce qui donne accès au livre ne soit pas à la hauteur du texte. À mon avis, ça peut nuire à l’auteur. C’est-à-dire, empêcher des lecteurs de découvrir son talent. Car il s’agit bien de talent dans son cas.
Mine de rien, on entre dans son univers discrètement. On remarque rapidement que Natalie Jean aime s’attarder sur les détails du quotidien et les comportements subtils des êtres dans leur façon de vivre le monde. Après quelques nouvelles, on est surpris par la force des mots. Certaines phrases, qui semblent provenir de nulle part, provoquent une émotion vive difficile à réprimer. Ça nous fait cet effet jusqu’à la fin, toujours au détour d’une phrase en apparence banale.
En fait, ce n’est pas banal. Natalie Jean a une voix singulière et elle sait y mettre l’âme qu’il faut pour rejoindre la sensibilité du lecteur. Ce n’est pas sorcier en soi, mais peu d’auteurs en sont réellement capables. Et c’est là toute la différence.
Je jette mes ongles par la fenêtre est ma première belle découverte de 2009. Ça commence plutôt bien l’année, je trouve.

Septentrion dans les médias #5

La saison redémarre tranquillement. On a repéré ça et là quelques recensions de nos livres.
Collection V
Les trois nouveautés de notre collection V tissent lentement leur toile auprès des médias. Dans Le Devoir du 17 janvier dernier, Michel Lapierre parle de la parution du livre de Samuel de Champlain Les Fondations de l’Acadie et de Québec, 1604-1611 . C’est Éric Thierry qui l’a adapté en français moderne. Le journal Le Québécois s’est naturellement intéressé à Croisière d’un Américain de John Armoy Knox. Le libraire Christian Vachon de la librairie Pantoute en recommande la lecture.
Radio
Le 18 janvier dernier, l’émission La Grande tablée, diffusée sur les ondes de Radio-Canada à Rimouski, a présenté le livre Franco-Amérique dirigé par Dean Louder et Eric Waddell.
Revues
Dans le dernier numéro de la revue Nuit Blanche, on trouve une critique d’Anastasie ou la censure du cinéma au Québec (Yves Lever). Nouvelles études francophones se penche sur le tome 5 de Histoire populaire du Québec (1960 à 1970) de Jacques Lacoursière ainsi que sur l’essai signé Jean-Richard Gauthier Michel Sarrazin, un médecin du roi en Nouvelle-France. Compte tenu de son sujet, on ne s’étonnera pas de l’intérêt de L’Action Nationale pour la pièce de théâtre de Claude Corbo Passion et désenchantement du Ministre Lapalme que nous avons fait paraître cet automne. Contact, la revue de l’Université Laval dédiée à ses diplômés, n’a pas raté l’occasion de souligner la publication d’Enthéos, premier roman de Julie Gravel-Richard qui a su se démarquer depuis sa parution en août dernier. Québec Français a de bons mots pour le recueil de nouvelles d’Emmanuel Bouchard Au passage dont c’est également la première publication.
Internet
Avant même sa parution, le site Planète Québec présente la nouvelle édition du livre Histoire de l’Amérique latine et des Caraïbes de José del Pozo. Il sera en librairie dès le 27 janvier. Le roman biographique de Danielle Brault Le Bâtisseur se distingue sur les sites ServicesMontréal.com et CultureHebdo.com. Ce dernier a également recensé les deux ouvrages suivants: Parcours d’une coopérative agroalimentaire : Purdel 1928-2008 et Pensées et réflexions d’Alfred Laliberté.

Le nectar de l’éditrice (et du môônde!)

Lundi matin, le 12 janvier 2009, 9h17, je prends place devant mon ordinateur (oh, comme tu m’as manqué pendant ce long week-end), non sans avoir échangé les quelques formules de politesse d’usage avec mes collègues préférés : «J’ai vu tes photos sur Facebook en fin de semaine» ou «Qu’est-ce qu’un tel voulait dire quand il a commenté ton statut» ou encore «Le comptable m’a acheté sur Friends for sale». Facebook est vraiment pratique pour se raconter plein de trucs géniaux!
En ce lundi glacial donc, un courriel a tôt fait de retenir mon attention… un courriel de Pierre-Léon Lalonde. Il m’envoie le fichier final d’Un taxi la nuit T.II. Tout de suite, j’ai fait un tri dans les photos, dont une où on dirait que le ciel de Montréal est en feu. Superbe.
taxi-photos.jpg
J’ai passé les trois journées suivantes à lire le manuscrit, faire de petites corrections, de petites remarques. Même que dans la voiture pour un aller-retour à Montréal jeudi, je n’ai pu m’empêcher de le lire et rire du mot «goguette» qui revient à quelques reprises dans le texte (oui j’ai appris un nouveau mot). J’ai terminé une première lecture hier et la finale de l’inédit m’a jeté par terre. Que tu es généreux Léon. C’est maintenant Carole qui l’a entre les mains. J’aime bien qu’elle repasse derrière moi, elle trouve tout le temps plein de trucs que je n’avais pas vus. Prochaine étape, entrer les petites corrections et donner le tout à la réviseure i.e. d’ici la fin de la semaine. Recevoir et lire le chef-d’oeuvre de préface.
(En aparté, oh attendez, on me verse un autre verre de vin. Car je vais maintenant écrire à propos de Mère indigne, et l’alcool, eh bien c’est un doigt, c’est un verre, c’est une bouteille).
chroniques-final11.jpg
Comme l’Éditeur indigne le demandait (s’il se reconnaît qu’il se lève ou qu’il se taise à jamais): « Si tu veux un tome II, la mère, va falloir y mettre plus de sexe ». Eh bien, laissez-moi vous dire qu’on est servi dans ce tome 2. Des scoops? Vous en bavez d’envie n’est-ce pas? Je vous comprends. Surtout qu’après ce que j’ai lu, eh bien moi, je dis ça je dis rien, mais c’est tout simplement dément, surtout les inédits et les surprises! Je suis sous un sévère embargo pour nos deux auteurs. J’ai l’impression d’être en possession d’un secret d’État. Mais, ne reculant pas devant le danger et faisant une Mata Hari de moi-même, je vous dirai ainsi qu’on retrouve 1092 fois le mot indigne, 36 fois le mot zizi-pénis, 19 fois le mot gin tonic, 14 fois le mot sexuels, 9 fois le mot sexe et une référence à Nietzsche (question de ne pas verser dans la légèreté outre mesure). Est-ce que je ris en travaillant? Est-ce du travail pour moi? La question est lancée. Moi, je vais préparer le texte pour la réviseure et je m’excuse à l’avance auprès de mes collègues s’ils m’entendent rigoler toute la journée seule dans mon bureau.
Maintenant, je retourne m’obstiner avec le directeur et le graphiste au sujet de la couverture de nos bien-aimés auteurs. Il semble qu’il y ait de l’avenir de ce côté, c’est Quelqu’un qui m’a dit avoir eu une idée qui, ma foi, m’apparaît géniale.
Je tag Gilles Herman, Pierre-Louis Cauchon, Éric Simard et Carl-Frédéric de Celles: que représente l’indignité dans votre quotidien? Et quand vous prenez un taxi, est-ce que vous jasez avec le chauffeur?

Meilleures ventes de l’année 2008

Voici le palmarès des 20 titres du Septentrion s’étant le plus illustrés au niveau des ventes au cours de la dernière année :
1. Histoire populaire du Québec tome 5 (1960 à 1970) de Jacques Lacoursière
2. Les Chroniques d’une mère indigne de Caroline Allard
3. La Mesure d’un continent. Atlas historique de l’Amérique du Nord 1492-1814de Raymonde Litalien, Jean-François Palomino et Denis Vaugeois
4. Québec en 1608 cases. Mots croisés de Nicole Hannequart
5. Histoire populaire du Québec tome 1 (des origines à 1791) de Jacques Lacoursière
6. Histoire populaire du Québec tome 2 (1791 à 1841) de Jacques Lacoursière
7. Histoire populaire du Québec tome 4 (1896-1960) de Jacques Lacoursière
8. Histoire populaire du Québec tome 3 (1841 à 1896) de Jacques Lacoursière
9. Canada-Québec 1534-2000 de Jacques Lacoursière, Jean Provencher et Denis Vaugeois
10. L’Erreur. L’échec américain en Irak cinq ans plus tard de Charles-Philippe David, Karine Prémont et Julien Tourreille
11. Brève histoire socio-économique du Québec de John A. Dickinson et Brian Young
12. Samuel de Champlain. L’entrepreneur et le rêveur de Maurice K. Séguin
13. La Chorégraphie divine de Jean Proulx
14. Le Pont de Québec (nouvelle édition) de Michel L’Hébreux
15. Le Duel. Les dessous de l’élection présidentielle américaine d’Élisabeth Vallet
16. Enthéos de Julie Gravel-Richard
17. Une histoire du Québec racontée par Jacques Lacoursière
18. Les Fondations de l’Acadie et de Québec, 1604-1611 de Samuel de Champlain (texte en français moderne établi, annoté et présenté par Éric Thierry)
19. Plaisance. Terre-Neuve, 1650-1713 de Nicolas Landry
20. Franco-Amérique sous la direction de Dean Louder et Éric Waddell

Jean Pelletier

Salut Jean!

Jean Pelletier est venu terminer son cours classique au Séminaire des Trois-Rivières vers 1953-54. Il arrive de Québec avec son style un peu grand seigneur. Il a la voix grave et de la prestance. Il s’intègre rapidement et développe de solides amitiés

« On a bien travaillé ensemble, malgré nos divergences politiques », prend-il plaisir à me redire lors de notre dernière conversation, mercredi dernier. « Tu avais manqué quelques cours importants, ceux de Plante et Martel par exemple ». Il éclate de rire en ajoutant : « Jean [Chrétien] les a suivis et ça n’a rien changé! »

Jean a accédé à la mairie de Québec en novembre 1977. Le PQ était au pouvoir depuis un an. En février 1978, je deviens ministre des Affaires culturelles. Nous allions en effet « bien travailler ensemble ». Nous nous remémorons trois cas parmi plusieurs. Un projet de bibliothèque centrale, prévue sans le quartier Saint-Roch, est dans l’impasse depuis des années : conflit avec la commission scolaire qui possède le terrain et montage financier incompatible avec les programmes du ministère. Nous réglons les deux problèmes et la première pelletée de terre de la future bibliothèque Gabrielle Roy est levée en 1980. Cette bibliothèque sera une des premières à profiter de notre plan de développement des bibliothèques publiques. Par la suite, il y aura presque à chaque année une nouvelle bibliothèque dans les divers quartiers de Québec dont St-Andrews dès 1981. Jean Pelletier, homme de grande culture, est un inconditionnel de la lecture.

On parle aussi du Petit Champlain, de notre ami Jacques DeBlois. Le torchon brûlait entre Jean et les promoteurs de ce fabuleux projets. Gerry Paris savait provoquer. Un coup de fil, quelques mises au point et le Petit Champlain redémarre prestement. Jean est bien décidé à faire le maximum dans le Vieux Québec. C’est un dossier difficile. Celui de l’avenir du Musée du Québec l’est aussi. Un consensus se dégage finalement : il y aura deux musées. Nous décidons de choisir sans tarder un emplacement… dans le Vieux Québec. Jean fait préparer les dossiers et un bon samedi matin, avec le ministre Denis DeBelleval, nous arpentons le secteur du vieux port et arrêtons notre choix. C’est Jean qui par la suite le défendra vaillamment, DeBelleval et moi avions été muté ailleurs!

Au cours de l’année du 400e, on a beaucoup vanté les beautés de la ville de Québec. Il est évident que de solides coups de barre ont été donnés par Jean Pelletier. Il aimait sa ville et l’a servi, non seulement comme maire mais aussi dans ses diverses fonctions. C’est bien regrettable qu’il ne soit pas resté plus longtemps à la barre de Via Rail.

Salut Jean,

Bonne année 2009!

Toute l’équipe du Septentrion vous souhaite une belle année 2009.
Merci de vous intéresser aux livres que nous publions.
Nous le faisons au meilleur de nos connaissances et avec toute la passion qui nous habite.
2009 ne fera pas exception à la règle.
Au plaisir de partager encore une passion commune: le livre.