Palmarès 2009 : lectures

Bon an mal an, les belles rencontres littéraires sont au rendez-vous. Avec Emmanuel Carrère en tête de liste avec deux titres et Leméac/Actes sud avec quatre, 2009 ne sera pas en reste. Pour une troisième année consécutive, on y retrouve un Arnaldur Indridason (je dois bien l’aimer on dirait !). On retrouve également un Geneviève Robitaille qui faisait bonne figure dans celui de 2007. Comme j’y travaille, j’ai préféré ne pas mettre de titres publiés chez Septentrion.
Sans plus tarder, voici la liste des dix titres qui ont fait ma joie cette année :
1. Un roman russe, Emmanuel Carrère (P.O.L.)
2. Brooklyn Follies, Paul Auster (Leméac/Actes sud)
3. Désamours, Geneviève Robitaille (Leméac)
4. La femme en vert, Arnaldur Indridason (Points/Seuil)
5. L’étrangleur de Cater street, Anne Perry (10/18)
6. Quartier lointain/Un zoo en hiver, Jiro Taniguchi (Casterman Écritures)
7. La renarde et le mal peigné, Pauline Julien et Gérald Godin (Leméac)
8. Les hommes en général me plaisent beaucoup, Véronique Ovaldé (Babel/Actes sud)
9. D’autres vies que la mienne, Emmanuel Carrère (P.O.L.)
10. Je jette mes ongles par la fenêtre, Natalie Jean (L’instant même)
Comme d’habitude, je serais curieux de connaître votre liste.
Mon palmarès 2008
Mon palmarès 2007
Mon palmarès 2006

4 réflexions au sujet de « Palmarès 2009 : lectures »

  1. Deux Carrère, donc il fait un cinquième de ton palmarès.
    J’ai seulement 2 livres de ton palmarès, un de lu (10e) et un à lire prochainement (7e)
    Tu me fais réaliser que je n’ai pas encore Désamours et que je le veux… absolument. Je sais même à qui le prêter après.
    Tu viens juste de lire ton deuxième coup de coeur.

  2. J’ai suivi ton exemple et celui de Catherine qui a suivi le tien.
    J’ai trouvé l’exercice très difficile. Mais ça m’a fait du bien :-) . Je me comprends mieux !

  3. Je m’aperçois qu’on n’a pas le même palmarès. Je viens de terminer « Léger, humain, pardonnable » de Martin Provost(cinéaste de Séraphine) au Seuil (autobiographie de 2008) qui m’a profondément ému quand à la relation avec son père et sa mère, son homosexualité, l’avortement de sa soeur et la mort de son frère. Un livre qui est passé complètement inaperçu. Je te dis a bientôt pour le verre que l’on va aller prendre.

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